Prixde Gros en DA Prix de Détail en DA; Abricot: 180.00: 220.00: Ail: 650.00: 800.00: Aubergine: 55.00: 80.00 ALGER – Les prix des fruits et légumes frais, qui connaissent actuellement une nette hausse, vont bientôt revenir à leur “situation d’équilibre” dès la mise sur le marché des premières récoltes saisonnières, a assuré lundi un responsable au ministère de l’Agriculture. “Actuellement, on est dans une période d’arrière-saison soudure où… Source New feed1 Prix des fruits et légumes retour bientôt à la situation d'équilibre

Lesprix des fruits et légumes en Algérie ont connu une forte hausse à quelques jours de la fête de Aid el-Adha. Le constat est d’autant plus perceptible que les étals des marchés de détail des fruits et légumes en Algérie sont bien achalandés. Si l’offre est supérieure à la demande, rien ne milite cependant pour un marché clément. En témoigne la mercuriale, pratiquement

Temps de lecture estimé 50 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées et seront analysées. La semaine n’est clairement pas propice aux grandes courses du mois. Phénomène de rentrée oblige, les fruits et légumes ont, en l’espace d’une semaine, augmenté considérablement. On peut retenir une somme de 20 DA de plus en moyenne sur la majorité des légumes, à l’image de la tomate qui passe de 100 à 120 DA en une semaine, mais aussi la pomme de terre qui augmente de 10 DA. L’augmentation la plus spectaculaire touche l’ail qui prend 50 DA de plus en une semaine. Côté fruits, la règle est la même. La banane, baromètre absolu des prix du marché, n’a pas échappé à l’augmentation de 20 DA. Notons le prix du citron qui pour sa part a pris 50 DA de plus en une semaine. Il est à noter que si certains prix n’ont pas changé, nous n’avons noté aucune diminution cette semaine. Related Tagsfruits légumes prix algériemercuriale alger fruits légumesprix des fruits et légumes alger
Algérie Les ménages respirent, les prix des fruits et légumes sont en baisse Par nadjib Publié le lun 16/05/2022 - 11:14 C’est la bonne nouvelle de la période post-Ramadan : après d'une flambée insupportable sur les marchés, les prix sont à la baisse au grand soulagement des ménages algériens dont les bourses ont été vidées.
Le haricot vert à 500 dinars le kilo, l’ail à 1 800 DA, la banane dépasse les 800 DA les prix de certains fruits et légumes sont devenus fous. Au marché des fruits et légumes Réda Houhou d’Alger centre, tout est cher. La tomate et la courgette sont affichées respectivement à 150 et 180 dinars le kilo. Même les légumes de saison sont touchés par la flambée comme les petits pois 140 DA, l’artichaut 150 DA. Le record de la hausse est battu par l’ail dont le prix dépasse 1 800 DA le kilogramme. Du jamais vu ! Par conséquent, les ménages se contentent d’acheter quelques gousses pour l’assaisonnement de leurs plats. L’ail local, qui vient de faire son entrée sur le marché, est proposé à 300 DA le kilogramme, mais les quantités restent insuffisantes pour le rééquilibrage du marché. La hausse du prix de l’ail a même inspiré les internautes sur les réseaux sociaux où des dessins montrant des époux offrant à leurs épouses des gousses d’ail à la place des fleurs à l’occasion du 8 mars foisonnent. Le haricot vert est non seulement cher, mais il a quasiment disparu des étals. Il n’y a pas assez sur le marché, c’est ce qui explique son prix trop élevé », explique un commerçant. Outre les légumes, les fruits sont également touchés par la flambée. La pomme algérienne oscille entre 180 et 600 DA le Kg, la poire est proposée à 550 DA. Pour l’orange, un fruit de saison, son prix varie entre de 80 DA et 250 DA le kilo, selon la qualité. Les fruits exotiques ont quasiment disparu des étals. Et lorsqu’ils sont disponibles, ils sont hors de prix. La banane par exemple s’affiche à plus de 700 DA. Chez certains commerçants, elle est cédée à 850 DA. Le kiwi est un peu plus cher, son prix s’approche des 1 000 DA le kilo. Des produits hors de portée de la majorité des Algériens. Le blocage des importations des fruits et légumes est l’un des facteurs à l’origine de la hausse vertigineuse de certains produits. LIRE AUSSI Réduction des importations l’objectif du gouvernement est-il tenable ? L’Association de protection du consommateur Apoce dénonce la spéculation et l’appétit féroce des commerçants qui se sucrent sur le dos des consommateurs. Son président, Mustapha Zebdi a expliqué à TSA que la marge bénéficiaire de certains légumes et fruits dépasse le prix du produit lui-même », accusant des commerçants véreux de profiter de cette conjoncture » pour augmenter les prix. LIRE AUSSI L’ONU prévoit pour l’Algérie une faible croissance et une inflation élevée en 2017 Cet article Fruits et légumes des prix fous, des produits rares est apparu en premier sur TSA Algérie. Ceciserait du à l’offre insuffisante. Les marchés de gros étant beaucoup moins fournis qu’auparavant, les prix s’en ressentent. L’envolée des prix touche la plupart des légumes et des fruits. Les haricots verts se vendent entre 180 et 220 dinars le kg, les courgettes entre 180 et 250 dinars le kg. Les tomates, les carottes et la Économie Une grande vente directe de produits à prix coûtant est organisée jeudi à Paris et en banlieue par le PCF et le syndicat paysan Modef. Semaine animée pour les fruits et légumes, et qui ne fera certainement qu'amplifier le débat sur leurs prix. Jeudi 21 août, le syndicat paysan Modef et le Parti communiste organisent, comme tous les étés depuis quatre ans, une grande vente directe 60 tonnes de produits à prix coûtant, à Paris et en banlieue, avec Marie-George Buffet en invitée vedette. L'objectif est de dénoncer les marges de la grande distribution. "Les prix sont élevés à la consommation, bas à la production, et la moitié des producteurs ont disparu en trente ans", s'enflamme Raymond Girardi, le secrétaire général du Modef. Puis vendredi et samedi, les Français découvriront des opérations de promotion devant et dans les magasins, organisées main dans la main par les producteurs – du syndicat agricole FNSEA cette fois – et les distributeurs. Pour ce faire, ils ont reçu l'aval du gouvernement, qui a autorisé ces opérations spéciales car les prix des légumes d'été, courgettes, tomates et melons principalement, sont... anormalement bas, et qu'il faut liquider ces stocks périssables ! Alors même que l'offre était importante et les prix modérés, les consommateurs ont boudé ces produits, ce qui a fait chuter les prix. Une situation qualifiée de crise par le ministère de l'agriculture. Pour ajouter à la confusion, les prix des fruits à noyaux prunes et abricots, eux, sont plus élevés que la moyenne, car la récolte est faible, à cause d'un gel tardif au printemps. Difficile pour un non-spécialiste de se forger un avis sur la réalité des prix. D'autant que les chiffres publiés par ceux qui s'évertuent à prouver que les prix sont hauts, et ceux qui tempêtent qu'ils sont bas, divergent. Dernier épisode en date, une étude réalisée par l'association Familles rurales et publiée mardi 19 août par La Croix. Elle démontre que le coût pour un couple avec deux enfants de plus de 10 ans respectant les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, soit 400 grammes de fruits et légumes par jour, s'élève cet été à 131 euros, soit 12,6 % du smic. Interfel, qui représente la filière du producteur au distributeur, lui a répondu dans un communiqué reprochant à Familles rurales des calculs peu représentatifs. Selon elle, le budget mensuel, sur l'année, s'élèverait à 72 euros. UN PRIX MOYEN AU KILO DE 1,98 EURO Cher, pas cher ? Chaque camp tranche différemment. "Certains produits sont vendus à des prix compétitifs, après, tout est question de choix personnel", explique Jérôme Bédier, le président de la Fédération du commerce et de la distribution FCD. Pour le prouver, celle-ci a mis en place un indicateur, appelé "5-1-2", pour "5 produits pour plus de 1 kilo et moins de 2 euros", soit une consommation quotidienne pour deux personnes, et démontre, exemple à l'appui, que c'est possible. Angélique Delahaye, présidente de la Fédération nationale des producteurs de légumes, une branche de la FNSEA, ajoute un dernier argument "En moyenne, les fruits et légumes, au kilo, coûtent de 2 à 3 euros. Si on compare au reste de la gamme alimentaire, ils font partie des produits les moins chers." Mais dans un contexte d'inflation des prix alimentaires sur l'année, le sujet déjà sensible est devenu explosif. Selon TNS Worldpanel, le prix au kilo moyen s'est élevé à 1,98 euro en 2007, contre 1,92 en moyenne entre 2002 et 2006. D'après les relevés de l'Insee, entre juillet 2007 et juillet 2008, les fruits ont augmenté de 20 %, aléas climatiques obligent, les légumes n'ont gagné que 1 %. Observer les indices de prix à la consommation de l'Insee permet surtout de comprendre que les prix varient énormément d'un mois sur l'autre, contrairement au reste des dépenses alimentaires, et qu'avoir des repères n'est pas aisé. Car c'est bien là la particularité du prix des fruits et légumes, être très fortement dépendant de l'offre et de la demande. Ces deux données sont elles-mêmes liées à la météo, qui influe aussi bien sur le volume de production que sur les envies de consommation, souvent décalés de surcroît. Après des années d'antagonisme entre producteurs et distributeurs, les professionnels délivrent désormais le même message il est possible d'acheter des produits bon marché, chaque semaine, en suivant l'offre et les saisons. Même si les producteurs, comme aujourd'hui ceux de melons, se demandent encore pourquoi une pièce vendue par eux 75 centimes peut se retrouver sur les étals à plus de 2 euros. "N'oublions pas les frais de conservation ou le transport. Faisons comprendre que le prix moyen au kilo n'est pas scandaleux, et arrangeons-nous pour que dans la filière, chacun gagne sa croûte", propose Mme Delahaye. Même si le Modef critique l'opération, le reste des acteurs veut jouer le jeu, en cas de crise sur certains produits, des ventes au déballage. Elles se tiendront les 22 et 23 puis les 29 et 30 août, et enfin les 8 et 9 septembre. Un outil utilisé une première fois en 2007 pour les pêches et les nectarines, et qui pourrait se généraliser grâce à une simplification de la procédure administrative. Il faut pour l'instant un accord du ministère de l'agriculture et de Bercy pour autoriser ces opérations d'urgence. L'avantage est que tout le monde peut s'y retrouver le gouvernement, car les Français, inquiets de leur pouvoir d'achat, peuvent acheter des produits bon marché ; les consommateurs, pour la même raison ; les producteurs, qui vendront un produit qui avait du mal à trouver preneur et espèrent que l'opération permette un redressement des prix, une fois les surplus écoulés. Enfin, la distribution peut y trouver son compte, car les promotions attirent les clients dans les rayons. Laetitia Clavreul Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. LibertéAlgérie – Le Quotidien Après l’envolée exagérée du prix de la viande blanche, c’est au tour de la mercuriale de s’emballer, soumettant ainsi le pouvoir d’achat des familles à rude épreuve C’est la bonne nouvelle de la période post-Ramadan après d'une flambée insupportable sur les marchés, les prix sont à la baisse au grand soulagement des ménages algériens dont les bourses ont été vidées. La presse locale ne manque pas de commenter cette belle surprise en apportant quelques explications. Même la star de la table algérienne, en l'occurrence la pomme de terre, est revenue à des prix abordables. Le kilogramme est cédé entre 60 et 80 dinars, soit la moitié de ce qu'elle coûtait durant le mois sacré du Ramadhan », note le quotidien l’Expression. Selon cette même source, le poulet s’écoulerait à présent à 280 dinars le kg, contre quasiment le double il y a quelques semaines. Tandis que la viande rouge reviendrait à son niveau habituel, à partir de 1100 dinars le kg », précise le journal. Le quotidien El Watan, cite pour sa part l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, dont le point de vue est légèrement nuancé. Nous sommes un peu rassurés. Les indicateurs sont réconfortants au vu de la baisse quotidienne des prix de certains produits et de leur abondance, mais le marché national est perturbé et imprévisible, et il peut réserver des surprises à tout moment, c’est ce que nous avons vécu par expérience», commente son président Mustapha Zebdi. Autre satisfaction des ménages, les produits jusque-là sous tension, tel que l’huile de table, la semoule et le lait en sachet, sont à nouveau largement disponibles. Ils remplissent les étals, faisant fièrement face aux clients. Ces derniers s'étonnent de les trouver en abondance alors que les commerçants assurent que ces produits de première nécessité ne trouvent presque plus preneur », signale même l’Expression. Comment s’explique cette baisse surprise qui apporte une bouffée d'oxygène ? La chute de la demande post Ramadan est bien entendu le premier facteur. Mais cela n’est probablement pas suffisant pour dissuader les réseaux de commerçants véreux rodés aux pratiques de stockage et de régulation » spéculative de la distribution en lien avec les barons de l’économie informelle. La criminalisation des actes de spéculation a sans doute produit son effet, elle est dissuasive. La loi prévoit désormais la perpétuité pour ces délits. L’approvisionnement des ménages, un dossier tout compte fait très politique, est pris en charge au sommet de l’Etat. Il fait l’objet de directives du président Tebboune en personne. On parle de sécurité alimentaire », d’organisation des circuits de distribution et de mesures incitatives sur toute la chaîne, seule issue pour briser la spirale spéculative. La nouvelle Algérie est-elle en marche? », s’interroge l’Expression, publication très proche du pouvoir. La question mérite en effet d’être posée. Les Algériens sont abandonnés au bon vouloir de la pègre qui accumule des richesses dans le secteur commercial depuis des décennies. Reste qu’il n’est sûrement pas d’Algérie nouvelle », sans liberté d’opinion, de pensée et d’expression.
Lesviandes aussi sont concernées par ce recul des tarifs, que nous essayerons d’expliquer dans la suite de cet article. Il faut savoir que cette baisse des prix est survenue du jour au lendemain. La plupart des fruits et légumes sont concernés. À l’instar de la pomme de terre, qui est passée de 120 à 60 dinars le kilogramme. Les tomates sont actuellement affichées
Le prix les fruits en Algérie affichent d’importantes hausses au point que le consommateur algérien ne peut plus se permettre d’en acheter. En effet, d’après le média Annahar, l’Algérie n’a jamais connu une hausse des prix aussi importante des fruits. Par conséquent, les algériens sont vraisemblablement essoufflés dans cette course effrénée de la croissance des prix et sont dans l’incapacité de s’en procurer. Les commerçants eux aussi, souffrent de cette situation peu rassurante, et ne peuvent plus commander autant de cargaisons d’aliments à vendre qu’avant, au risque de pourrir. Rappelons que le premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a expliqué le 16 septembre dernier que la hausse des prix de certains produits sur le marché algérien est due à la hausse des légumineuses sur les marchés mondiaux en raison de la crise sanitaire, ainsi qu’aux coûts élevés du transport international, ainsi qu’aux conditions de production qui conduit à une augmentation des prix des légumes, des fruits et de la viande. Lahausse des prix est repartie de plus belle. C’est une nouvelle opération à peine voilée au mépris du pouvoir d’achat des franges démunies de la société algérienne, loin de toucher un salaire décent, et qui sont littéralement touchées de plein fouet par la nouvelle hausse des prix des produits de première nécessité ainsi que Il y a 48 produits. Affichage 1-48 de 48 articles Filtres actifs Ail Violet-La tête 65 gr Px/Kg - Esp/ Hollande 0,50 € Px/Kg - Esp/ Hollande Ananas La pièce environ kg Px/Kg Martinique /Costa Rica/St Domingue 4,00 € Px/Kg Martinique /Costa Rica/St Domingue Avocat La pièce ± 350 gr La pièces environ 350gr Martinique/St Domingue 2,50 € La pièces environ 350gr Martinique/St Domingue Banane fruit 1 kg - Origine Martinique/Guadeloupe 1,70 € 1 kg - Origine Martinique/Guadeloupe Basilic 1 botte Orgine Martinique/France 3,40 € 1 botte Orgine Martinique/France Carotte 1 kg Origine France/Hollande 1,95 € 1 kg Origine France/Hollande Céleri 4€/kg 1 botte origine FR/HOL 3,20 € 4€/kg 1 botte origine FR/HOL Choux chinois Remplace la salade-Bonne conservation-La pièce 1,5kg Px au kg 4,90 € Remplace la salade-Bonne conservation-La pièce 1,5kg Px au kg Choux pomme la pièce ± Martinique 4,08 € la pièce ± Martinique Choux rouge la pièce ± Hollande 3,20 € la pièce ± Hollande Christophine 1 kg République Dominicaine/Martinique 3,50 € 1 kg République Dominicaine/Martinique Citron vert 1 kg Martinique/ 4,20 € 1 kg Martinique/ Cives Oignon pays 1 botte Origine Martinique 2,97 € 1 botte Origine Martinique Concombre 1 kg Martinique/ R. Dominicaine 2,50 € 1 kg Martinique/ R. Dominicaine Echalote 250gr gr Px Kilo € France 1,35 € gr Px Kilo € France Fruit de la passion "Maracudja" 1kg Martinique/ 5,50 € 1kg Martinique/ Mangue La pièce±350gr. Martinique/ 2,39 € La pièce±350gr. Martinique/ Melon La pièce Martinique/Guadeloupe 3,65 € La pièce Martinique/Guadeloupe Menthe 1 botte France/Martinique 3,08 € 1 botte France/Martinique Orange 1 kg Origine Martinique/ 2,70 € 1 kg Origine Martinique/ Pastèque €/kg. La pièce ± 4 kg Martinique 14,50 € €/kg. La pièce ± 4 kg Martinique Patate douce 1 kg Martinique/Costa Rica 3,60 € 1 kg Martinique/Costa Rica Piment fort La piéce 0,19 € Piment végétarien - Pièce 0,10 € Poivron jaune la pièce 8 €/kgc la pièce environ FR/HOL/ESP 2,19 € 8 €/kgc la pièce environ FR/HOL/ESP Poivron rouge la pièce 8€/kg 1piece FR/SP/NDL 2,19 € 8€/kg 1piece FR/SP/NDL Poivron vert-La pièce 8€ /kg 1pièce FR/SP/HOL 2,24 € 8€ /kg 1pièce FR/SP/HOL Pomme golden 1 kg Origine France/Belgique 3,20 € 1 kg Origine France/Belgique Salade Feuille de chêne 1,45 € Latomate est à 110 et la courgette à 130 DA le kg. La salade est affichée à 230 le kg et le concombre à 150 DA. Le poivron quant à lui est cédé à 180 DA le kg. Et malgré la baisse constatée des prix au niveau des marchés de gros ces derniers jours, les détaillants continuent d’appliquer ces prix exorbitants.
Algérie – Suite à la fluctuation des prix qu’ont connu les fruits et légumes en début de la saison estivale en Algérie, le marché enregistre aujourd’hui une baisse remarquable. Dzair Daily vous dévoile les prix dans ce qui suit, dans son édition du 8 août 2022. En effet, le citoyen algérien a fait face à une hausse des prix des fruits et légumes avant et après la période de l’Aïd El Adha. Cette période enregistre chaque année une flambée des prix des produits de large consommation. Cependant, les marchés en Algérie ont connu, ces jours-ci, une chute considérable quant au prix des fruits et légumes. Il s’agit là de ce que rapporte la chaîne télévisée Echorouk. Effectivement, vous avez probablement remarqué une tendance baissière chez la plupart des vendeurs de fruits et légumes. Le consommateur va enfin pouvoir faire ses courses paisiblement. Cela s’ajoute également à la baisse du pouvoir d’achat, rapporte le même média. Par ailleurs, le marché de légumes de la capitale a vu une stabilité concernant les prix de ces aliments. Selon le témoignage d’un citoyen interrogé par ledit média, certains commerçants proposent des prix raisonnables et d’autres, en revanche, se maintiennent aux prix élevés. Les prix des fruits et légumes pour ce mois d’août Une virée effectuée par Echorouk sur le marché d’Alger nous témoigne de la baisse des prix actuelle. Les deux partis sont gagnants, aussi bien le commerçant que le client qui ont exprimé leur satisfaction aux micros de la chaîne télévisée. Notamment avec les prix qui ne cessent d’augmenter depuis le début de cette année 2022. En ce qui concerne les prix des légumes, un des vendeurs du marché s’est exprimé à ce sujet. Pour le poivron et le piment, ces aliments sont actuellement à 70 DA, le navet est à 60 DA. Le prix des haricots verts est affiché à 120 DA. Ainsi que l’oignon qui bat le record avec le prix de 35 DA. Pour ce qui est de la pomme de terre, le légume est à seulement 60 DA. La courgette, de son côté; est cédée à 50 DA. La carotte a vu son prix baissé de 150 DA à 60 DA. Du côté des fruits, les raisins sont à 100 DA ainsi que la nectarine qui est vendue au prix de 70 DA, apprend-on de la même source.
Algérie: les prix des fruits et légumes stagnent, mais ceux de la viande rouge s'envolent Algérie Focus. Monde. Tous Europe Monde. Monde. Moyen orient : Les États-Unis, Israël et six pays
Temps de lecture estimé 51 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées et seront analysées. Semaine mouvementée sur le marché algérien. Si certains produits de première nécessité n’ont vu aucun changement, d’autres, les légumes frais et les fruits saisonniers notamment, ont observé quelques fluctuations, à l’image de la pomme de terre dont le prix de détail du kilogramme a vu sa valeur minimale augmenter de 5 DA de 60 à 65 DA, mais sa valeur maximale baisser de 10 DA de 90 à 80 DA. La tomate a, elle, vu la valeur minimale augmenter de 10 DA de 50 à 60 DA. Par ailleurs, les prix des pommes d’importation et locales sont à observer, puisque la pomme d’importation a considérablement augmenté, voyant son prix passer de 850 à 950 DA, influant ainsi sur le prix de la pomme locale qui a baissé de 120 DA de 250 à 130 DA dans ses valeurs minimales. Enfin, le prix de la viande blanche, et du poulet principalement, est à noter pour cette semaine, il a ainsi observé une chute spectaculaire de 60 DA 340 à 280 DA. Related Tagsmercuriale alger septembreprix fruits légumes algerprix fruits légumes alger septembre
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