Jeu terminé tout à l'heure en très difficile first run. Il est clairement plus dur que le premier Horizon, certains ennemis One shot, il faut vraiment se préparer avant chaque affrontement pour ne pas mourir bêtement. J'ai plutôt bien apprécié l'aventure dans son ensemble. La beauté des paysages, surtout pour un open world j'y ai joué en mode résolution. Les effets de lumières, les ombres, la faune et la flore superbement retranscrites, les effets du vent ... on voyage vraiment dans un monde hyper vivant et le dépaysement est total. Le monde, plutôt gigantesque, regorge d'activités assez diverses mais finalement peu originales. Ça reste efficace mais y'a rien qui fait que le jeu se démarque des autres productions du genre, je trouve ça dommage. Peut-être le jeu d'échec Attakh mais bon, j'ai dû faire une ou deux parties, j'ai l'impression qu'il n'est pas assez mis en avant. Avec des récompenses à la clef, ça aurait permis au joueur de mieux s'y investir. Peut-être qu'on gagne de l'équipement, mais je n'en suis pas sûr, peut-être en remportant un certain nombre de parties. A vérifier. Les personnages sont bien mieux travaillés qu'avant. Que ce soit leur background respectif même si parfois ça reste vague pour certains ou les liens qui les unis prennent vraiment plus de place que dans l'épisode précédent. On retrouve des anciennes têtes comme des nouvelles plutôt bienvenues Kotalo trop classe . De plus, j'ai l'impression qu'ils ont carrément motion capturé tous les dialogues, même pour les quêtes annexes. On n'a donc pas cette impression que tout le monde à la même gestuelle ou les même mimiques. J'ai même pas eu l'illusion d'avoir croisé des sosies/clônes de PNJ, chose récurrente dans n'importe quel jeu d'aventure. C'est un des points qui m'a le plus bluffé dans cet épisode car ça semble être du jamais vu dans un jeu vidéo où toutes les scènes sont de qualité premium. On s'attache mieux au personnages secondaires et ça donne du corps à notre aventure. En terme d'ergonomie et confort de jeu, il y a du très bon comme des choses assez étranges. La téléportation marchent super bien, on va d'un point A vers un point B en deux ou 3 secondes. En revanche, il y a eu des moments, je me retrouve avec un écran noir pendant 1 seconde comme lorsqu'on fait une sauvegarde rapide dans un camp. J'ai l'impression que ça arrive lorsqu'on change de zone et ça peut même arriver durant un combat ça m'est arrivé une fois. L'escalade même si elle donne un semblant de liberté, à certains endroits, son gameplay est vraiment capricieux. Il y a des prises qui semblent accessible mais Aloy ne va pas parvenir à faire quoi que ce soit ... c'est assez agaçant. Ensuite, les combats sont plutôt sympas voire même jouissif contre les machines. C'était pour moi le point fort du premier. En très difficile, le gameplay nous force presque à utiliser tous les éléments du jeu catégorie d'armes, attaques élémentaires etc ..., ça évite une certaine répétitivité dans les affrontements. Les combats contre les humains ont été améliorés mais ce n'est pas encore ça. J'aurai bien aimé un système de garde ou de pary par exemple grâce au bouclier. Et là, on aurait un système de combat CàC encore plus riche. J'ai rencontré quelques bugs durant l'aventure, dont un qui m'a fait peur. A l'un des creuset, j'étais arrivé au boss et lorsque je crevais, la partie se charger et je réapparaissais ... sous la map. Je me suis dit "putain, après 85h de jeu, je ne vais pas pouvoir le finir avec cette sauvegarde ?!" Heureusement que le jeu crée régulièrement des sauvegardes automatiques car je n'avais pas l'envie de recommencer alors que j'étais arrivé si près du but ... J'ai entendu ici et là que la fin était expéditive mais je n'ai pas eu cette impression. C'est clairement bien rythmé et plutôt épique. Avec un léger twist au dernier moment qui est cool. J'en ressort de cette aventure malgré quelques défauts, très enthousiaste car il possède d'énormes qualités. Guerilla a clairement fait du bon boulot et en terme de mise en scène, ils ont clairement franchi un pas qu'aucun autre jeu n'a fait jusqu'à aujourd'hui. Aller, maintenant j'attaque Elden Ring
Ilspeuvent être trouvés sur toute la carte d’Horizon Forbidden West. Les oiseaux tempêtes sont vraiment intimidants et doivent être manipulés dès que possible. LesDans Horizon 2 Forbidden West, les creusets vous permettent de débloquer le piratage pour certaines machines. Voici la liste de tous les creusets ainsi que les machines débloquées pour le piratage. Pour obtenir le piratage de toutes les machines dans Horizon 2 Forbidden West, vous allez devoir explorer tous les creusets du la liste des emplacements de tous les creusets ainsi que les machines qu'ils vous permettent ensuite de pirater. Table des matières Les creusets de Horizon 2 Forbidden West Creuset TAU Creuset MU Creuset IOTA Creuset CHI Creuset GÉMEAUX Creuset KAPPA Les creusets de Horizon 2 Forbidden WestCreuset TAUNiveau requis 15Piratage débloqué pour les machines Pentacorne, Fouisseur, LaboureurVous le trouverez en poursuivant la quête principaleCreuset MUNiveau requis 18Piratage débloqué pour les machines Brouteur, Pillard, Charognarde, Corne-Sabre, Grande-Bouche, TunnelierEmplacement Sud-est de la carteCreuset IOTANiveau requis 22Piratage débloqué pour les machines Corne-Filante, Etincelle, Carapateur, Galop-Griffe, Ravageur, Razoptère, Hautes-Pattes, Bondisseur, Cracheur Boursouflé, GyrodorseEmplacement Nord au centre de la carteCreuset CHINiveau requis 30Piratage débloqué pour les machines Long-nez, Grimpeur, Griffe de gel, Griffe de feu, Traqueur, Carapeste, Grilleuse, Veilleur rouge, Testudien, Mastodonte, Emplacement Sud-ouest de la carteCreuset GÉMEAUXNiveau requis 30Piratage débloqué pour les machines Aile d'HélionEmplacement Centre de la carteVous le complèterez durant votre quête principaleCreuset KAPPANiveau requis 30Piratage débloqué pour les machines Brise-roc, Brisevague, Vulpivol, Oiseau-tempête, Gueule-d'orage, Rampant, Frappe-défense, MassacrépineEmplacement Nord-ouest de la cartePour certaines machines le piratage n'est que partiellement débloqué avec les creusets piratage corrompu. Vous devez ensuite utiliser le terminal de fabrication dans la base débloquée lors de la quête principale L’œil de la Terre pour débloquer le piratage des machines en photos Bienvenuedans le guide des trophées PS4 et PS5 de Horizon Forbidden West. Ce jeu fait suite au premier épisode sorti en 2017, et se déroule quelques mois après les événements de ce premier opus, dans une nouvelle zone : l’Ouest des États Unis. L’obtention des trophées paraît particulièrement facile et agréable, profitez du jeu
5 ans après, le studio néerlandais de Guérilla revient avec la suite de Horizon Zero Dawn. Un retour magistral mais néanmoins loin d’être parfait Un petit tour dans les menus Tout d’abord faisons un petit paragraphe informatif par rapport aux options d’Horizon. Vu que c’est à la mode avec la next-gen, le jeu nous propose une version performance qui assure le 60fps/seconde en 1080p et une version qualité qui privilégie la définition 4K en 30fps. Si je ne suis pas très regardant sur les fps habituellement, Horizon est le second jeu après Dying Light 2 où je me suis interrogé sur le mode à choisir. Je trouve que le mode résolution manque un tout petit peu de fluidité. Mais au final j’ai quand même opté pour celui-ci. L’oeil s’habitue vite et aucune chute de framerate ne vient gâcher l’expérience contrairement à Dying Light 2. Et si je ne suis pas non plus un adepte des beaux jeux à tout prix, il faut bien avouer que Forbidden West nous arrache la rétine assez souvent. D’ailleurs j’ai pris un nombre incalculable de captures pour ce test sans m’en rendre compte une soixantaine. Dès le début, les paysages et prises de vue donnent envie de prendre des captures tout le temps… Ensuite vous aurez le choix dans le mode de difficulté et j’ai testé les quelques options possibles. Oubliez les modes difficiles ou très difficiles au moins pour commencer. Aloy aura fort à faire niveau combats et comme dans le premier opus, ce sera contre des machines largement plus grosses qu’elle et cela implique un rapport de force en votre défaveur. Bien sûr, avec votre arsenal, vos compétences et un peu d’entraînement, on arrive à bout de n’importe quelle machine. Mais pas besoin de compliquer la donne en se faisant one shot sur des combats de 15min. N’hésitez pas à aller faire un tour dans les options et personnaliser votre aventure. L’option butin facile aidera par exemple ceux qui n’arrivent pas à détacher des machines les pièces de butin nécessaires avant de les éliminer. Vous pouvez également plus ralentir le mode concentration pour palier vos difficultés à toucher précisément certains points faibles. La navigation guidée vous mettra des checkpoints intermédiaires pour faciliter vos déplacements alors que le mode exploration se contente de mettre un marqueur sur votre destination et c’est à vous de découvrir le chemin à prendre quitte à se perdre ou tourner en rond. Du coup je vais vous bombarder de captures… Bref le jeu à plein d’options alors n’ayez pas honte d’aller en profiter. Un monde riche L’open world d’Horizon est un monde intéressant et complexe. Fini les tribus Noras et Carjas. Pour faire simple, après avoir sauvé le monde, Aloy se retrouve vite contrainte de quitter tous ses alliés pour partir plus à l’Ouest car un gros malin Sylens a préféré ne pas totalement tuer le méchant du 1, Hades, et le garder en vie pour connaître tous les savoirs de l’ancien monde. certaines sous l’eau… Le jeu reprend presque tout de suite après la fin du 1 6 mois se sont écoulés et Aloy repart à l’aventure pour enquêter sur un phénomène qui menace la faune et la flore de la région. Très vite, cela l’amène à devoir s’aventurer dans l’Ouest interdit. Là où le roi dément menait des raids contre les autres tribus afin de réaliser des sacrifices pour le dieu soleil. Donc, en plus des Noras, Carjas, Carjas de l’ombre, Banuks ou Oserams, Aloy va decouvrir les Utarus, les Queens et les Tenakths. Ces derniers étaient eux-mêmes divisés en clans. Quand je vous dis que le monde d’Horizon est riche c’est bien le cas. Tellement, qu’il est compliqué de tout garder en tête, de se rappeler qui est qui et surtout de comprendre le positionnement d’Aloy dans tout ça. Car on va passer son temps à aider un peu tout le monde à part les rebelles clairement identifiés comme étant les méchants du jeu ignorant les guerres ou les histoires de chaque peuple. Alors Aloy apporte clairement un message de paix et d’union mais j’avoue que parfois on a un peu l’impression d’aider n’importe qui. certaines où il fait froid… Il faut également prendre en compte que ça, ce n’est que la vie sur cette terre futuriste post apocalyptique. Et il faut ajouter une seconde couche à toute cette géopolitique complexe, avec l’histoire de l’ancien monde, la fin de la civilisation et la création de Gaya et de son système de terraformation du nom de Zero dawn qui avait pour but de recréer la vie via des machines. Et tout ce qui en a découlé. Dont l’opération zénith lointain qui sera centrale dans cet opus. Bref je vais m’arrêter là pour l’histoire mais oui c’est riche, plutôt bien écrit et assez large pour vous faire jouer très longtemps. D’ailleurs les quêtes annexes de ce deuxième opus sont plus intéressantes que la plupart des jeux en monde ouvert. On aura le plaisir de retrouver certains protagonistes du 1 et de continuer à les aider et d’en apprendre plus sur eux. Chaque personne importante rencontrée bénéficie de nombreux dialogues. Il est donc possible de s’intéresser aux histoires locales ou personnelles et de faire plusieurs missions avec les mêmes personnes surtout avec les personnages secondaires de l’aventure. Cette façon d’écrire les quêtes annexes les rend bien plus intéressantes que lorsqu’un illustre inconnu vous demande d’escalader une grande tour pour sauver quelqu’un ou de ramasser un butin quelconque ce qui existe aussi dans le jeu. et d’autres où il fait chaud. Guerilla a d’ailleurs tellement travaillé ce côté narration qu’ils vous laissent le choix d’approfondir ou non. Les axes de conversations étant souvent multiples et longs, vous pourrez interroger vos interlocuteurs librement, les relançant si vous en avez envie, abordant d’autres sujets si vous en avez envie ou en coupant court vers le choix de l’objectif si vous trouvez ça un peu long. Le monde de l’Ouest qui correspond à l’Ouest américain est vaste. Presque autant que l’histoire du jeu. Et la carte est impressionnante quand on la regarde dans le menu. Remplie d’objectifs, de quêtes annexes, de tâches, de services personnels, de zones de chasses, de panoramas, de drones, de robots et ainsi de suite. Largement de quoi vous faire plaisir mais aussi vous perdre. J’ai regretté par exemple, que si l’on décide de se concentrer sur la quête principale, notre niveau et notre équipement a du mal à suivre le niveau des missions. C’est plus vrai en début de jeu et on est loin d’être obligé de faire tout ce qui nous est proposé mais je vous conseille tout de même de faire certaines quêtes annexes en vue de faire progresser Aloy en parallèle de la trame principale. Après, comme je l’ai dit précédemment, les persos secondaires sont largement assez travaillés pour vous donner envie de fouiller l’histoire. J’ai bien aimé la narration autour de certains clans Des combats grandioses Deja un point central dans le premier opus, les combats contre les machines bien plus que contre les humains sont un essentiel d’Horizon. Aloy rencontrera plus d’une quarantaine de machines différentes, allant des simples coureuses ou tunneliers aux redoutables gueules d’orage ou massacrépines en passant par les oiseaux tempête et les frappes défenses. Autant de machines que de combats impitoyables. Pour en sortir vivante, Aloy aura le droit à une panoplie d’armes disponibles, arc du chasseur, de précision, arc court, lance pic, pièges, lance câbles, frondes… et dans plusieurs déclinaisons, de feu, de glace, d’électricité, d’acide, de renversement, du chaos et j’en passe. Tellement qu’il est longtemps dur de constituer sa roue des armes. On ne sait pas trop quoi utiliser et le choix est tellement vaste qu’il est fastidieux de changer d’arme ou de munitions en fonction des combats à venir. Sans même parler de la stratégie qui change du tout au tout selon que vous utilisiez votre lance, des pièges ou vos arcs. Ainsi que les personnages Plus on avance dans le jeu et plus tout ça s’éclaircit mais ce qui est sûr dans tous les cas c’est que vos combats resteront épiques. Je me suis d’ailleurs fait la réflexion que le monde d’Aloy est très largement hostile. On est continuellement trop ? interrompu par des machines. Aucune n’est pacifique et dès que vous passez à proximité d’un groupe de machines vous êtes bon pour la fuite ou un long combat. Mais on doit bien reconnaître que mettre à terre un gueule d’orage procure toujours la même sensation. À l’heure où tout le monde se prosterne devant elden ring je peux vous dire que péter des mastodontes à l’arc est une aventure toute aussi grandiose. Une aventure avec un grand A Je voulais juste revenir sur la trame principale. Après avoir loué la qualité d’une partie des quêtes secondaires, j’avoue que j’ai longtemps eu plus de doutes sur le fil rouge. Alors qu’on vient de sauver le monde, Guérilla utilise une ficelle un peu grosse pour relancer tout de suite l’aventure. Même si la fin du premier nous laissait déjà présager de ce qui allait arriver. Ensuite, tout l’arc autour de l’opération Far Zenith part très mal mais je dois bien avouer qu’au final l’aventure se laisse suivre, les rebondissements prévisibles ou non nous accrochent au fur et à mesure et le final n’est pas si mal. Là j’avoue, j’étais un peu inquiet Les protagonistes sont également charismatiques et variés. Et malgré ma propension à me moquer de tous ces peuples un peu trop primitifs, les leaders qui nous accompagnent se révèlent réussis. Petit bémol tout de même à la toute fin mais je ne vais pas m’expliquer au risque de spoiler. Un horizon qui s’assombrit parfois Ce deuxième opus n’est pas exempt de défauts pour autant. Et si les pro-Xbox qui s’en défendront de la rédaction se moquent régulièrement de moi quand je dis que les jeux Sony sont parfaits, ce n’est donc pas le cas ici. Déjà juste pour me défendre, c’était pas toujours le cas, mais très souvent sur PS4. Et je parle en terme de finitions et de qualité ou soin apporté aux jeux. On a le droit de ne pas les aimer pour autant. Mais revenons à nos moutons-machines car j’ai quelques remarques à faire tout de même. Je commence par la caméra. Pas le problème le plus marquant mais finalement un des plus saoulant à la longue. Je dois rappeler que les combats dans Horizon sont bien souvent pour ne pas dire tout le temps épiques. Que la difficulté est largement présente et que la moindre erreur peut se payer cash. Alors quand la caméra, située 1-2 mètres derrière Aloy, se prend des rochers, se perd sur un robot venu au corps-à-corps, se cache dans les hautes herbes ou s’écrase contre un mur, bah ça vous fait autant de morts qui vous font rager. Et la nouveauté de cette épisode, à savoir la nage, est loin d’être épargnée par ces caméras hasardeuses. On enchaine sur l’escalade. De manière générale, elle est assez libre et le jeu s’en sort très bien. Mais on note tout de même deux choses. Déjà, certaines scènes scriptées » perdent d’un coup toute liberté d’escalade et il faudra suivre un chemin bien prédéfini que l’on repère sans mal avec le focus. Tous les autres accès/falaises/rochers/murs… deviennent d’un coup impossibles à grimper. Deuxième chose un peu à l’opposé, si certaines parois ne sont pas escaladables », Aloy aura par contre tendance à s’accrocher comme pour escalader sur des petits rochers qui font à peine sa taille. Et on en revient au premier point négatif avec les caméras, une Aloy qui se fige en plein combat, se mettant en position de grimpe et ayant besoin de 3 animations pour se remettre en mouvement, c’est une Aloy morte. Agaçant. Ce genre de combat ; une erreur de caméra et vous êtes mort Troisième point, et celui-ci est autrement plus grave, le jeu n’est clairement pas exempt de bugs. Je veux dire des vrais bugs de progression. D’ailleurs il suffit de lire le patch pour se rendre compte qu’ils ont déjà corrigé plus d’une dizaine de quêtes qui pouvaient être touchées. Pour ma part, j’en n’ai eu qu’une. Et qui ne fonctionne toujours pas la touche triangle d’interaction n’apparaît pas. C’est exactement le genre de défaut que l’on relève malheureusement de plus en plus fréquemment. Mais dans un jeu estampillé Sony, ça me choque encore plus. J’ai également eu le droit à un bug de météo avec une pluie très soudaine plus drôle que gênant ou encore un petit lac avec un bord assez mal délimité encore une fois plus amusant qu’autre chose. Et je ne reviens pas sur les animations de sauts où nos jambes passent à travers une échelle, nos cheveux qui traversent notre arc, les animations des attaques silencieuses qui sont très approximatives sur les machines ou de rares écrans noirs d’une petite seconde intempestifs. Des détails mais qui sont tout de même assez nombreux. En conclusion Au final, si je ne l’ai jamais trouvé parfait ou extraordinaire, Forbidden West offre une suite tout de même grandiose aux aventures d’Aloy. Les passages dans des lieux reconnaissables apportent un petit plus, les combats contre certaines machines sont toujours aussi mémorables et les personnages rencontrés donnent envie d’en savoir plus. Plus vaste, plus riche, plus beau et avec un scénario au moins autant travaillé, cette suite fait largement le boulot. Petites cartes postales de l’Ouest
Horizon: Forbidden West est prévu pour février 2022 et sait ce faire attendre. Pour nous faire un peu plus patienter, Blake Politeski, concepteur principal des machines, et Maxim Fleury, infographiste principal des éléments, nous proposent une petite interview. Dans celle-ci, on découvre quelques informations sur les futures mécaniques du jeu ainsi que sur leur monstresOhhhhhhhh, un Grand-cou en Lego ! En voilà un set de taille pour une première association Lego / Playstation. Ce modèle numéroté 76989 est officiellement en vente depuis le 1er mai de cette année. Et pour une fois, vu le sujet abordant l’une de mes licences préférées, je n’ai pas raté le coche de la précommande. Qu’est ce qu’un Grand-cou ? Ce robot géant ressemblant à un dinosaure de type brachiosaure à fortiori est l’une des nombreuses machines que croise Aloy, l’héroïne du jeu vidéo post-apocalytique Horizon Zero Dawn et de sa suite Horizon Forbidden tout en haut d’un Grand-cou permet donc au joueur de pirater ce dernier afin de rendre visible toute la zone dans laquelle il évolue en gros, c’est une tour de contrôle mouvante. A la découverte d’un Grand-cou dans Horizon Zero Dawn Contenu de la boîte La boite contient 1222 pièces et permet d’assembler tout d’abord un socle ovale représentant les vestiges d’une ville. On y trouve un feu tricolore et de nombreux éléments symbolisant la nature qui a repris ses droits. Ce socle permet donc d’accueillir un Grand-cou évidemment, un Veilleur une sorte de raptor – toujours sous la forme de robot et Aloy équipée d’un arc et d’une lance. Si vous connaissez le jeu, vous savez donc que le Veilleur a son œil bleu quand tout est calme, jaune lorsqu’il détecte un bruit suspect et rouge quand vous êtes grillé. Et là, c’est le drame. Extrait du livret de construction du set Lego 76989 La tenue d’Aloy est très détaillée. Comme souvent avec ce type de set chez Lego, la tête propose deux visages. La pièce servant de cheveux est bien imposante et dispose même d’une partie transparente au niveau de l’oreille. Les designers Lego n’ont pas oublié le fameux focus qui permet à Aloy de visualiser plein d’infos contextuelles sur son environnement. Gros plans sur Aloy et le Veilleur Le Grand-cou est une belle bête de 34 centimètres de hauteur. Pour éviter tout risque de chute, il s’emboite directement sur le socle ce dernier mesure 21cm de longueur. La fidélité du produit fini par rapport aux jeux vidéo est au rendez-vous. Le Grand-cou de la tête aux pieds Verdict ? Au final, grâce à son socle détaillé, cette construction a des airs de diorama géant. Les quelques heures d’assemblage n’ont pas généré de difficulté particulière. A souligner que les stickers ne sont pas trop nombreux cette fois. Bref, c’était un bon petit moment de détente. Et qui sait, peut-être que si les ventes de cette boite sont bonnes, d’autres créatures mécaniques de cet univers seront proposées à la vente il y a de quoi faire niveau bestiaire… Le Grand-cou via le mode photo lors de ma session sur Horizon Zero Dawn sur PS4 Je suis désormais prêt pour attaquer Horizon Forbidden West… Enfin, il est dans la pile des jeux à faire du moins 😅. Ily a deux chaudrons de mission d’histoire et quatre chaudrons optionnels dans Horizon Forbidden West, et chacun d’eux déverrouille des remplacements de machine spécifiques. Les chaudrons sont des zones dans Horizon Interdit Ouest qui peut être complété pour déverrouiller des remplacements et des supports de machine spécifiques. Le remplacement des machines Unedernière bande de neige dangereuse traverse les secteurs de Montréal à Québec jusqu'à 10 h. Le potentiel de carambolage est très présent, puisque la visibilité est fortement réduite .