ActualisĂ©15 mars 2011, 1848Agression Ă l'arme blacheDeux ans ferme requis contre Samy NaceriL'acteur Samy Naceri comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris aprĂšs l'agression d'un homme Ă l'arme blanche le 8 janvier 2009 Ă peine de cinq ans d'emprisonnement, dont trois avec sursis, a Ă©tĂ© requise mardi contre l'acteur Samy Naceri, poursuivi pour avoir agressĂ© un homme Ă l'arme blanche en janvier 2009 Ă Paris et menacĂ© de mort son jugement a Ă©tĂ© mis en dĂ©libĂ©rĂ© au 28 la barre, l'acteur a dit regretter son geste, un geste fou», l'expliquant par une rupture conflictuelle avec son ancienne petite amie. Celle-ci, aprĂšs une altercation, avait appelĂ© un ami pour faire peur Ă l' sera blessĂ© Ă la gorge par un coup de couteau entaillant plus de 10 cm. A la barre, Samy Naceri explique avoir cru voir la victime sortir une arme.J'ai pas fait le traĂźtre, il Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de moi, il a fait l'homme, moi aussi», a-t-il dĂ©clarĂ©. De son cĂŽtĂ©, Nadal Si-Yahia, la victime, a affirmĂ© que l'acteur l'avait regardĂ© Ă terre comme s'il voulait finir le travail».La vedette de Taxi» assure avoir Ă©tĂ© mis au ban de la profession en raison de ses rendez-vous frĂ©quents avec la justice. Seuls Alexandre Arcady et Claude Lelouch voudraient le faire tourner, avocat, qui a plaidĂ© la relaxe pour les menaces de mort rĂ©itĂ©rĂ©es, s'en est rapportĂ© au tribunal quant Ă la peine, rappelant que son client avait exprimĂ© des regrets, plus fort que des excuses et plus sincĂšres».L'acteur a dit s'ĂȘtre retirĂ© dans le Sud, vivre depuis deux ans et demi avec une nouvelle compagne qui l'a accompagnĂ© dans la douleur, la maladie, Ă la limite de la mort», a-t-il assure au tribunal ne plus avoir pris de drogue ni d'alcool depuis des mois. Je ne fume mĂȘme plus la cigarette».Le procureur a requis une peine de cinq ans dont trois avec sursis. Les deux annĂ©es d'emprisonnement ferme peuvent ĂȘtre amĂ©nagĂ©es par un juge d'application des peines, a-t-il expliquĂ©. Samy Naceri a effectuĂ© six mois de dĂ©tention provisoire dans ce procureur a mis en avant la volontĂ© certaine et rĂ©elle de rĂ©insertion» de Samy Naceri pour justifier ses rĂ©quisitions qui peuvent paraĂźtre clĂ©mentes. Le juge d'application des peines qui le suit pour une autre affaire a fait savoir au tribunal que l'acteur respecte Ă la lettre» ses obligations, se disant dĂ©favorable Ă une en rĂ©cidive lĂ©gale, encourt une peine plancher de trois ans ferme. Et dix ans tribunal a rappelĂ© que Samy Naceri avait Ă©tĂ© condamnĂ© Ă 13 reprises. Les avocats des deux parties civiles ont demandĂ© rĂ©paration des prĂ©judices subis. ap
PrĂ©venir la violence chez les soignants Ă lâhĂŽpital La violence est banalisĂ©e partout, lâhĂŽpital nâest pas Ă©pargnĂ© par ce phĂ©nomĂšne, dont tous les professionnels de santĂ© peuvent en ĂȘtre victime. Mais la violence nâest pas une fatalitĂ©, la direction dâun Ă©tablissement de soins doit sâimpliquer totalement dans sa prĂ©vention. Distinction des actes de violence Observatoire national des violences en milieu hospitalier Quelles peuvent ĂȘtre les causes des actes de violence envers les soignants ? Devoirs de lâhĂŽpital envers ses agents victimes de violence PrĂ©vention des actes de violence chez les soignants Ă lâhĂŽpital Distinction des actes de violence La violence se dĂ©finit comme toute action geste, parole, Ă©crit, comportement contre une autre personne ou un autre groupe, qui entraĂźne des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques. On distingue les atteintes aux biens et les atteintes aux personnes. Atteintes aux biens Niveau 1 vols sans effraction, dĂ©gradations lĂ©gĂšres, dĂ©gradations de vĂ©hicules sur parking intĂ©rieur de lâĂ©tablissement hors vĂ©hicules brulĂ©s, tags, graffitis. Niveau 2 vols avec effraction. Niveau 3 dĂ©gradations ou destruction de matĂ©riel de valeur mĂ©dical, informatique, imagerie mĂ©dicale, etc dĂ©gradations par incendie volontaire locaux, vĂ©hicules sur parking intĂ©rieur de lâĂ©tablissement, vols Ă main armĂ©e ou en rĂ©union razzia dans le hall dâaccueil, etc Atteintes aux personnes Niveau 1 injures, insultes et provocations sans menaces propos outrageants, Ă caractĂšre discriminatoire ou sexuel, consommation ou trafic de substances illicites stupĂ©fiants ou prohibĂ©s en milieu hospitalier alcool, chahuts, occupations des locaux, nuisances, salissures. Niveau 2 menaces datteinte Ă lâintĂ©gritĂ© physique ou aux biens de la personnes, menaces de mort, port dâarmes dĂ©couverte dâarmes lors dâun inventiare ou remise spontanĂ©e ou prĂ©sence indĂ©sirable dans les locaux. Niveau 3 violences volontaires atteinte Ă lâintĂ©gritĂ© physique, bousculades, crachats, coups, menaces avec arme par nature ou par destination arme Ă feu, arme blanche, scalpel, rasoir, tout autre objet dangereux, agression sexuelle. Niveau 4 violences avec arme par nature ou par destination armes blanches, armes Ă feu, sclapels, rasoirs, tout objet dangereux, viol et tout autre fait qualifiĂ© de crime meurtre, violences volontaires entraĂźnant mutilation ou infirmitĂ© permanente, etc Observatoire national des violences en milieu hospitalier LâObservatoire national des violences en milieu hospitalier, ONVH, a Ă©tĂ© créé en juillet 2005 par la circulaire du 11 juillet 2005, relative au recencement des actes de violence dans les hĂŽpitaux publics. Cet observatoire a pour mission de recenser les Ă©vĂšnements remontĂ©s par les Ă©tablissements de soins, afin dâĂ©tablir des statistiques et dâapporter des solutions concrĂštes aux hĂŽpitaux par la mise en place de plans dâaction. Bilan de lâobservatoire pour lâannĂ©e 2010 Chaque Ă©tablissement de soins doit tenir un fichier des Ă©vĂšnements indĂ©sirables. Nombre de signalements 4 742 en 2009, 5 090 en 2010, soit une hausse de 7% en un an. Le nombre de signalements est donc en augmentation, ce qui ne signifie pas nĂ©cessairement que les phĂ©nomĂšnes de violence augmentent mais les Ă©tablissements de plus en plus et de mieux en mieux, et des Ă©tablissements nouveaux dĂ©clarent Ă©galement. Les actes de violence physique, verbale, psychologique, directe ou indirecte, etc sont recensĂ©s. Lâobservatoire distingue les atteintes aux biens et les atteintes aux personnes, mais dans 80% des cas de signalements de violence, il sâagit dâatteinte aux personnes. Dans 46% des faits de violence, ce sont des coups portĂ©s aux soignants Evolution au cours des 5 derniĂšres annĂ©es On constate une augmentation des injures et des insultes de 10 % en 5 ans, les patients sont de plus en plus agressifs verbalement. Par contre les coups ont diminuĂ© de 4% dans le mĂȘme temps, ce qui rĂ©sulte peut-ĂȘtre de la mise en place de certaines mesures concrĂštes dans des Ă©tablissements. Tous les services de lâhĂŽpital sont concernĂ©s par les actes de violence, mais ce sont surtout les servcie de psychiatrie, dâurgence et de mĂ©decine qui sont les plus touchĂ©s. Intervention pour endiguer la violence dans 50% des cas, le personnel gĂšre seul les actes de violence, parfois il y a recours aux forces de lâOrdre, ou au service de sĂ©curitĂ© interne de lâhĂŽpital. Quelle suite est donnĂ©e aux violences subies dans 8 cas sur 10 aucune suite nâest donnĂ©e, il nây a pas de dĂ©pĂŽt de plainte. La procĂ©dure est jugĂ©e trop lourde, elle est parfois mĂ©connue. Quelles peuvent ĂȘtre les causes des actes de violence envers les soignants ? LâhĂŽpital est une institution qui engendre des formes de est primordial dâessayer dâen dĂ©terminer les causes afin de les prĂ©venir. Les temps dâattente et les conditions dâaccueil aux urgences, font lâobjet de trĂšs nombreux reproches des amĂ©liorations doivent ĂȘtre envisagĂ©es au niveau de lâorganisation des services dâurgence. Nous vivons dĂ©sormais dans un contexte procĂ©durier et le patient est dĂ©sormais un usager. Il peut faire preuve de violence parce quâil conteste la dĂ©cision mĂ©dicale, ou bien parce que le praticien refuse une prescription, un arrĂȘt de travail, etc Certaines pathologies prĂ©sentĂ©es par le patient pathologies mentales, utilisation de drogues, alcool etc peuvent rendre des personnes agressives. Christophe Dejours dans son livre conjurer la violence » a observĂ© que les violences commises par les usagers du service public Ă©taient plus importantes dans les zones oĂč le chĂŽmage est plus Ă©levĂ©. La rĂ©duction du temps de travail est Ă©galement pointĂ© du doigt puisquâil a Ă©crasĂ© des temps de travail consacrĂ© Ă la gestion des civilitĂ©s, lâincivilitĂ© a donc Ă©mergé⊠Lorsque le service public ne laisse pas de place Ă lâusager dans la construction de prestation de services, la seule place quâil peut prendre est celle de lâincivilitĂ© ou de la violence. Devoirs de lâhĂŽpital envers ses agents victimes de violence Il est indispensable de ne pas hĂ©siter Ă porter plainte en matiĂšre de violence, il ne faut pas faire preuve de fatalisme, le dĂ©pĂŽt de plainte doit ĂȘtre favorisĂ©. Les soignants doivent ĂȘtre informĂ©s quâils peuvent dĂ©poser plainte. La plainte doit ĂȘtre nominative. La victime peut se domicilier Ă lâhĂŽpital si elle ne souhaite pas faire apparaĂźtre son adresse personnelle Ă cette occasion. Suites en cas de dĂ©pĂŽt de plainte Lorsque la victime porte plainte contre son auteur, les sanctions sont sĂ©vĂšres. Dans le Code pĂ©nal les peines sont maximum, sâagissant dâun soignant, câest Ă dire un professionnel qui accomplit une mission de service juges veulent Ă©galement faire des exemples de ces affaires, on ne travaille pas Ă lâhĂŽpital pour se faire agresser ! » NĂ©anmoins de nombreux soignants agressĂ©s ne portent pas plainte, car cette violence est ressentie comme une mise en Ă©chec or ce nâest pas parce que le soignant se fait agressĂ© quâil est un mauvais soignant⊠Tous les actes de violence doivent ĂȘtre signalĂ©s Ă lâObservatoire Lâarticle 11 de la loi du 13 juillet 1983 assure une protection fondamentale de la collectivitĂ© lâhĂŽpital public est donc tenu de protĂ©ger contre les agressions ses agents et doit rĂ©parer le prĂ©judice subi. Ainsi le directeur de lâĂ©tablissement doit, si un agent est victime de violence, poursuivre lâauteur sur la demande de la victime, salariĂ©e de lâhĂŽpital, assurer la dĂ©fense de la victime par exemple les honoraires de lâavocat. Si lâauteur de lâacte de violence nâest pas retrouvĂ© ou sâil est insolvable, câest lâhĂŽpital qui devra indemniser le prĂ©judice moral, matĂ©riel et corporel. Il est essentiel de solliciter cette rĂ©paration. LâhĂŽpital pourra ensuite se retourner contre les auteurs pour faire rembourser ses frais. Autres devoirs de lâhĂŽpital LâhĂŽpital doit assurer une prise en charge de la violence psychologique, mais Ă©galement mettre en oeuvre des moyens de prĂ©vention concrets par exemple rĂ©organiser pour diminuer les temps dâattente aux urgences, former les agents Ă la gestion de la violence, etc PrĂ©vention des actes de violence chez les soignants Ă lâhĂŽpital Etudier les actes de violence et dĂ©finir des actions A partir de cette Ă©tude des actes de violence, il faut identifier les moments les plus dĂ©licats Ă gĂ©rer au cours de la journĂ©e au sein de chaque service, Ă quels moments se produisent prĂ©fĂ©rentiellement les actes de violence afin de mener une politique adĂ©quate lâorganisation du service pourra ĂȘtre modifiĂ©e, les Ă©quipes de soignants pourront ĂȘtre renforcĂ©es par exemple, sur certaines pĂ©riodes de la journĂ©e. Il faut chercher Ă savoir qui sont les auteurs des actes de violence ce sont surtout les patients, mais il y a une Ă©volution croissante des actes de violence chez les accompagnants, les visiteurs il faudra alors travailler sur les flux au sein de lâĂ©tablissement, revoir les structures dâaccueil, par exemple limiter lâaccĂšs des accompagnants en unitĂ©s de soins, dĂ©velopper une rĂ©elle politique dâaccueil et de prise en charge des accompagnants, etc Le personnel soignant peut parfois Ă©galement ĂȘtre auteur de violence ces actes de maltraitance ne sont pas pris en compte par lâobservatoire. Des procĂ©dures dâaccompagnement des victimes de violence doivent ĂȘtre mises en place. Formation des agents de lâhĂŽpital Ă la gestion de la violence des usagers Des formations dispensĂ©es aux salariĂ©s des compagnies aĂ©riennes pour gĂ©rer les passagers violents, sont dispensĂ©es Ă©galement aux soignants pour apprendre, entre autre, Ă identifier le conflit, dĂ©tecter les patients qui pouraient ĂȘtre violents tout comme les navigants savent dĂ©tecter les passagers qui pourraient ĂȘtre violents, repĂ©rer lâattitude dĂ©sinvolte de certains patients, leur gestuel, leur langage, etc Ces formations permettent dâapprendre Ă©galement Ă dĂ©samorcer un conflit aprĂšs avoir Ă©valuĂ© le potentiel de violence du patient ou de lâaccompagnant, il faut faire aussitĂŽt du dĂ©samorçage, afin que les soignants ne quittent jamais leur rĂŽle de soignant, gardent le contrĂŽle de la situation. Etablir un protocole dâaccord entre lâhĂŽpital et les forces de police En aoĂ»t 2005, un protocole a Ă©tĂ© signĂ© entre le MinistĂšre de lâintĂ©rieur et le MinistĂšre de la santĂ©, en juin 2010 un autre protocole a Ă©tĂ© signĂ© Ces protocoles, signĂ©s gĂ©nĂ©ralement Ă lâinitiative des directeurs dâĂ©tablissement, visent Ă dĂ©finir les relations quotidiennes entre lâhĂŽpital et les forces de lâordre dans certaines situations, telles que la venue de dĂ©tenus Ă lâhĂŽpital. PrĂ©voir de mettre Ă disposition des salles pour lâattente des dĂ©tenus, afin que les patients et les dĂ©tenus nâattendent pas dans la mĂȘme piĂšce, pour Ă©viter que lâagressivitĂ© se gĂ©nĂ©ralise. Agencement des locaux DĂšs leur conception, il faut songer Ă mettre en place tour ce qui peut limiter les actes de violences. Un simple changement dâorganisation des flux peut permettre une meilleure prĂ©vention de la violence au sein de lâĂ©tablissement. Eviter dâinstaller par exemple une salle oĂč les soignants se dĂ©tendent et se restaurent en plein coeur dâun service dâurgence. Les soignants doivent avoir la possibilitĂ© de fuir dans une autre piĂšce en cas dâagression. Eviter des angles vifs dans les salles dâattente des urgence, pour Ă©viter toute blessure en cas de choc. Les couleurs des locaux doivent ĂȘtre bien choisies, apaisantes, etc Les patients ont des droits mais Ă©galement des devoirs. Les actes de violence doivent ĂȘtre signalĂ©s, des suites judiciaires doivent ĂȘtre donnĂ©es et la prise en charge des victimes doit ĂȘtre assurĂ©e. Un plan de prĂ©vention et des formations adaptĂ©es doivent ĂȘtre instaurĂ©s. Les directions des Ă©tablissements de santĂ© doivent sâimpliquer dans la prĂ©vention de cette violence. A cĂŽtĂ© des actes de violence externe, on dĂ©crit Ă©galement une violence interne aux Ă©tablissements une violence qui Ă©mane de lâinstitution elle mĂȘme, les soignants subissant des pression de la part de la hiĂ©rarchie. Câest souvent un manque de formation en management qui est Ă lâorigine de cette violence interne. A aucun moment de leur cursus, les mĂ©decins, par exemple, nâont Ă©tĂ© formĂ©s au management⊠Ces informations ont Ă©tĂ© recueillies lors dâune confĂ©rence dĂ©bat organisĂ©e Ă Lyon La violence dans les Ă©tablissements de soins » Vous pouvez lire Ă©galement les articles suivants La violence au travail La souffrance du mĂ©decin SantĂ© au travail des mĂ©decins libĂ©raux
Agressionsexuelle; Atteinte sexuelle avec circonstance aggravante (sous la menace dâarme blanche ou Ă feu, commise par plusieurs personnes). Pour dâautres caractĂšres de viols sur mineur, la plainte est recevable jusquâĂ 10 aprĂšs la majoritĂ© du mineur. Ces cas sont citĂ©s dans cette liste : Recours Ă la prostitution de mineur ;
Vous ĂȘtes victime ou mis en cause dans une affaire de meurtre ou assassinat ? Consultez un avocat Avi Bitton Avocats â 01 46 47 68 42 â avocat Lâarticle 221-1 du Code pĂ©nal dispose Le fait de donner volontairement la mort Ă autrui constitue un meurtre. Il est puni de trente ans de rĂ©clusion criminelle. » LâĂ©lĂ©ment matĂ©riel de lâhomicide volontaire Lâarticle 221-1 du Code pĂ©nal incrimine un fait, ce qui exclut toute abstention. Ainsi, les abstentions ayant conduit Ă la mort de la victime sont incriminĂ©es par dâautres textes non-assistance Ă personne en dangerâŠ. La maniĂšre dont la mort est donnĂ©e, par des coups, une arme Ă feu, une arme blanche, est indiffĂ©rente. Seul lâempoisonnement fait lâobjet dâune incrimination spĂ©cifique article 221-5 du Code pĂ©nal. Selon la jurisprudence, un homicide volontaire peut rĂ©sulter de moyens multiples et successifs employĂ©s pendant un temps plus ou moins long, ce qui implique que le crime nâest pas nĂ©cessairement commis en un lieu unique » Crim. 9 juin 1977, n° Les actes positifs mis en Ćuvre par lâauteur doivent en outre aboutir Ă la mort dâautrui. LâĂ©lĂ©ment moral Lâauteur doit avoir non seulement conscience de la violation de la loi pĂ©nale mais surtout ĂȘtre animĂ© par la volontĂ© de tuer lâanimus necandi. Un lien de causalitĂ© entre la volontĂ© de tuer, les violences perpĂ©trĂ©es et le dĂ©cĂšs de la victime doit Ă©galement ĂȘtre Ă©tabli Crim., 8 janv. 1991, n° Lâintention homicide peut ĂȘtre dĂ©duite de lâarme utilisĂ©e et de la partie du corps de la victime vers laquelle les coups ont Ă©tĂ© dirigĂ©s Crim. 18 juin 1991, Crim. 15 mars 2017, n° Elle peut Ă©galement ĂȘtre dĂ©duite de la force avec laquelle les coups ont Ă©tĂ© portĂ©s Crim., 9 janv. 1990, n° Le mobile est indiffĂ©rent. Ainsi, lâintention homicide sera caractĂ©risĂ©e y compris dans lâhypothĂšse oĂč la personne atteinte par le coup nâest pas celle que lâauteur avait lâintention de tuer abberatio ictus ; Crim., 31 janv. 1835, Crim., 4 janv. 1978. Toutefois, le crime ne sera pas punissable si son auteur dĂ©montre quâil Ă©tait en lĂ©gitime dĂ©fense. Le consentement de la victime de lâhomicide est Ă©galement indiffĂ©rent. En effet, si le suicide nâest pas punissable, le fait de donner la mort Ă un tiers Ă sa demande constitue un homicide volontaire » Toulouse, 9 aoĂ»t 1973. Tel Ă©tait Ă©galement le cas de lâhomicide commis dans le cadre dâun duel Crim. Ch. RĂ©u., 15 dĂ©c. 1837. RĂ©pression 1. Tentative La tentative de meurtre est punissable. Tel est ainsi le cas de la personne qui exerce des violences sur une autre dans le but de la tuer, la pensant encore en vie, sans savoir que la victime est dĂ©cĂ©dĂ©e avant ces violences Crim., 16 janv. 1986. La mort antĂ©rieure de la victime est en effet une circonstance indĂ©pendante de la volontĂ© de lâauteur. 2. Peine encourue pour le meurtre et lâassassinat Lâarticle 221-1 du Code pĂ©nal prĂ©voit une peine de rĂ©clusion criminelle dâune durĂ©e de 30 ans. Les articles 221-2, 221-3 et 221-4 du Code pĂ©nal prĂ©voient des circonstances aggravantes, faisant encourir Ă leur auteur une peine de rĂ©clusion Ă perpĂ©tuitĂ©. Tel est le cas en cas de crime concomitant au meurtre ou permettant de prĂ©parer, faciliter un dĂ©lit, de favoriser la fuite. Tel est Ă©galement le cas de lâassassinat, dĂ©finit par lâarticle 221-3 comme un meurtre commis avec prĂ©mĂ©ditation ou guet-apens ». Lâarticle 132-72 dĂ©finit la prĂ©mĂ©ditation comme le dessein formĂ© avant lâaction de commettre un crime ou un dĂ©lit dĂ©terminĂ© ». Lâarticle 221-4 du Code pĂ©nal prĂ©voit des circonstances aggravantes, eu Ă©gard Ă la victime mineur de 15 ans, ascendant, personne vulnĂ©rable, personne exerçant une fonction judiciaire, militaire ou policier, un enseignant, un personnel de santĂ©, les ascendants ou les descendants de ces personnes, sur un tĂ©moin une victime ou une partie civile pour lâempĂȘcher de porter les faits Ă la connaissance de la justice, mais aussi eu Ă©gard Ă lâauteur bande organisĂ©e, par le conjoint ou lâĂ©poux. Lâarticle 221-4 du Code pĂ©nal prĂ©voit en outre la possibilitĂ© pour la Cour dâassises, de prononcer une pĂ©riode de sĂ»retĂ© allant jusquâĂ 30 ans, lorsque la victime est un mineur de 15 ans et que le meurtre est prĂ©cĂ©dĂ© ou accompagnĂ© dâun viol, de tortures ou dâactes de barbarie, lorsque le meurtre a Ă©tĂ© commis en bande organisĂ©e par une personne exerçant des fonctions de justice ou de police, un dĂ©positaire de lâautoritĂ© publique. 3. Prescription Depuis la loi du 27 fĂ©vrier 2017, le dĂ©lai de prescription de lâaction publique est de 20 ans, Ă compter du jour de la mort article 7 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. Vous ĂȘtes victime ou mis en cause dans une affaire de meurtre ou assassinat ? Prenez conseil auprĂšs dâun avocat Avi Bitton Avocats TĂ©l 01 46 47 68 42 Courriel avocat Revue de presse Audition de Avi Bitton, Avocat, sur le projet de rĂ©forme en matiĂšre de crimes sexuels vidĂ©o, AssemblĂ©e nationale DĂ©lĂ©gation aux droits des femmes, 19 dĂ©cembre 2017. Fraude fiscale une premiĂšre relaxe dans le dossier Falciani â Avi Bitton », Le Figaro, 31 mai 2017. Le crime de Maincy », Ă©mission Lâheure du crimeâ, RTL, 2 fĂ©vrier 2017. Sans mobile », reportage 7 Ă 8, TF1, 22 janvier 2017. Assassinat de Marie 20 ans de rĂ©clusion pour la mĂšre â Avi Bitton Avocat », La RĂ©publique de Seine-et-Marne, 9 janvier 2017. Une femme condamnĂ©e Ă 20 ans de prison pour lâassassinat de sa fille », LâExpress, 9 janvier 2017. Une mĂšre accusĂ©e dâavoir Ă©touffĂ© sa fille devant les assises », LibĂ©ration, 4 janvier 2017. Interview de Avi Bitton audio, Radio France, 4 janvier 2017. La maman accusĂ©e dâavoir tuĂ© sa fille passait passait pour une bonne mĂšre », Le Parisien, 4 janvier 2017. Une mĂšre soupçonnĂ©e dâinfanticide jugĂ©e aux assises », Le Point, 3 janvier 2017. Le beau-pĂšre violeur condamnĂ© vingt ans aprĂšs les faits », Le Parisien, 7 dĂ©cembre 2016. Lâaide juridictionnelle pour les terroristes remise en cause ? » vidĂ©o, I-TĂ©lĂ©, 23 novembre 2016. Ils se battent pour que les terroristes remboursent leurs frais de dĂ©fense », LâExpress, 23 novembre 2016. Câest quoi, encore, cette affaire Deschamps ? », So Foot, 17 avril 2016. Sur la piste des millions du BĂątonnier », Canard enchaĂźnĂ©, 23 mars 2016. Manuel de survie en situation de chantage », So Foot, 16 octobre 2015. Lâancien pompier condamnĂ© Ă 8 ans de prison pour avoir tentĂ© de tuer sa compagne », La RĂ©publique, 3 octobre 2015. Huit ans de prison pour avoir tentĂ© de tuer son ex », Le Parisien, 2 octobre 2015. Interview de Avi Bitton sur lâaffaire Dominique Strauss-Kahn â Carlton de Lille, France 24 TV, 12 juin 2015. Du rififi Ă lâInstitut Curie », LâExpress, 21 mai 2015. TempĂȘte au barreau de Paris autour des avocats commis dâoffice », LâExpress, 10 avril 2015. Un concert de punk annulĂ© pour incitation au violâ », Le Monde, 26 mars 2015. Can Paris or any other city really sue a TV station â even if it is Fox News? », The Guardian, 23 janvier 2015. Des victimes de viol rĂ©clament un nouveau procĂšs », LâExpress, 3 mars 2014. Exclusif. Affaire DieudonnĂ© des appels aux dons illĂ©gaux ? », Le Point, 5 janvier 2014. Lâinceste », interview BFM TV journal 12-15, 28 janvier 2014. Loi sur la prostitution lâinquiĂ©tude des policiers », interview I-TĂ©lĂ© Galzi jusquâĂ minuit, 4 dĂ©cembre 2013. Non-lieu pour DSK contre renvoi en correctionnelle qui a raison dans lâaffaire du Carlton ? », France TV Info, 8 aoĂ»t 2013. Condamnation de la sociĂ©tĂ© J. par la Cour dâappel de Paris le 10 avril 2013 », Association contre les Violences faites aux Femmes au Travail AVFT, 10 avril 2013. Interview de Avi Bitton sur la condamnation de la Natixis pour discrimination raciale, France Inter, 28 dĂ©cembre 2012. Interview de Avi Bitton sur la condamnation de la Natixis pour discrimination raciale, I-TĂ©lĂ©, 28 dĂ©cembre 2012. Natixis condamnĂ©e pour discrimination raciale envers un de ses cadres â Cabinet Avi Bitton », Le Monde, 27 dĂ©cembre 2012. Jean-Claude Biguine sous le coup dâune enquĂȘte pour abus de biens sociaux », Les Echos, 18 octobre 2012. Vers la fin de la peine de mort ? », Debate, France 24 anglais, interview de Me Avi Bitton sur lâabolition de la peine de mort dans le monde, 11 octobre 2012. Les auto-entrepreneurs », interview de Me Avi Bitton sur le dĂ©lit de travail dissimulĂ©, LâĂ©cho des lois, La ChaĂźne Parlementaire â LCP, 13 octobre 2012. Chronique hebdomadaire dâune violence quotidienne », Le Point, 7 septembre 2012. RuinĂ©e par un virement, elle assigne sa banque », Le Parisien, 14 juin 2012. HarcĂšlement au travail », Aligre FM, 20 avril 2012. Condamnation pour harcĂšlement sexuel dâun fleuriste parisien par le Conseil de prudâHommes de Paris », site de lâAssociation europĂ©enne contre les violences faites aux femmes au travail AVFT, 12 mars 2012. Les avocats au secours des juges », Le Point, 20 fĂ©vrier 2012. DSK bientĂŽt confrontĂ© Ă Tristane Banon », Le Figaro, 23 septembre 2011. Affaire Anne Caudal peut-on juger son assassin mort ? », Sud Radio, 30 aoĂ»t 2011. Un homme en dĂ©tention pour avoir transmis sciemment le sida », Le Monde, 3 aoĂ»t 2011. Attentat de Marrakech le sort des victimes est entre les mains de la justice marocaine », LâExpress, 30 juillet 2011. Suivez-nousCettepeine est imposĂ©e Ă la suite d'une deuxiĂšme infraction. Les infractions subsĂ©quentes sont passibles d'une peine minimale de 90 jours. Il n'y a pas de peine minimale pour une premiĂšre infraction. Il s'agit d'une infraction hybride. Si l'on procĂšde par mise en accusation, la peine maximale est de 5 ans. Si l'on choisit la procĂ©dure
Jeudi soir, lors d'une soirĂ©e entre potes Ă Grenoble tout ce qui a de plus normal, je me suis fais attaquĂ© par un individu que je ne connaissais absolument pas. AprĂšs lui avoir refuser de lui donner ma bouteille de Sky, il s'est montrĂ© violent et me l'a cassĂ©e par terre. Ensuite, tout a Ă©tĂ© trĂšs rapide avec un premier coup de couteau portĂ© Ă la gorge. Je me recule puis me dĂ©fend en lui infligeant une droite au visage mais trop tard, il m'a dĂ©jĂ entiĂšrement enfoncĂ© sa lame dans mon coude. Je tombe par terre et quelqu'un que je ne connais absolument pas me sauve in extremis et met l'homme Ă terre en prenant nĂ©anmoins un coup de couteau au front. Appel des pompiers, direction hĂŽpital. Beaucoup de chance car le coup Ă la gorge s'est rĂ©vĂ©lĂ© trĂšs proche de la je me porte mieux! Cependant pourquoi la violence dans les villes et surtout gratuite augmente de cette maniĂšre? L'infirmiĂšre sexy au passage m'a confiĂ©e que tous les soirs ce genre d'accidents bagarres de groupes en soirĂ©es ont toujours existĂ©es, mais on voyait rarement des couteaux et autre poignard. Arriverait-on vers une apogĂ©e de la violence? Pourquoi? ras le bol gĂ©nĂ©ral, on vis dans une societĂ© sans queue ni tĂȘte = petages de cables vandalisme violence gratuite etc... les gars ont besoin d'un cut ou d'un poing americain maintenant, sinon ils valent plus rien Pourquoi ne pas avoir essayĂ© de l'assommer avec la bouteille de sky ? Merci bien, Nicolas. Une politique sĂ©curitaire et stigmatisante n'amĂšne qu'Ă plus de violence. SpiegelSpike Voir le profil de SpiegelSpikePostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 152947 Avertir un administrateurPourquoi ne pas avoir essayĂ© de l'assommer avec la bouteille de sky ?Car il aurait Ă©tĂ© en taule pour s'ĂȘtre dĂ©fendu! Coucou la France! apres cette terrible epreuve j'espere que tu aura aun moin un mini pistolet a cartouche lacrymo comme ça la nuit bon stoping power, assomme avec le son ENORME, a 30 cm du visage, incruste la poudre lacrymo dans la peau pendant 72 ⏠pour te sauvĂ© la vie tu m'escuse, apres si ta "peur" de la police, a toi de voir, ils son du cotĂ© du citoyen comme toi tu sais. mais clair, a 2 doigts de la carotide, c vraiment tres soyez jamais bourrĂ© sur la voie publique J'ai oubliĂ© de prĂ©ciser qu'il a explosĂ© ma bouteille par terre. La j'ai du lui dire un "T'es content de toi pauvre con, maintenant il y plus rien" et lĂ il m'a attaquĂ© avec son couteau. L'HumanitĂ© est en perdition.. Je remarque aussi tombe dans une sociĂ©tĂ© qui se laisse piĂ©ger par la drogue et l'alcool .. surtout la jeunesse .. " Merci bien, Nicolas. Une politique sĂ©curitaire et stigmatisante n'amĂšne qu'Ă plus de violence. " Sarkozy est un pseudo sĂ©curitaire. Si ça va si mal, c'est justement parce qu'il n'y a plus aucune peine lourde et aucun flic dans les rues. A l'Ă©poque de nos parents on buvait une fois par mois et encore, on fumait un joint par mois et encore ..Maintenant les Ă©tudiants boivent 2-3 fois par semaine et beaucoup se retrouvent Ă se faire des joints tous les jours ..Et je parle pas de la coke, l'hĂ©ro etc.. Si ça va si mal, c'est justement parce qu'il n'y a plus aucune peine lourde et aucun flic dans les rues. - Mettre des flics pour la sĂ©curitĂ© routiĂšre ca rapporte +. Je comprends qu'on mette plein de flics pour faire des tests d'alcool le soir mais quand on voit que les 3/4 sont lĂ pour casser les couilles et flasher ... on en voit plus dans les rues c'est normal. lorka-1985 Voir le profil de lorka-1985PostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 153854 Avertir un administrateurapres cette terrible epreuve j'espere que tu aura aun moin un mini pistolet a cartouche lacrymo comme ça la nuit bon stoping power, assomme avec le son ENORME, a 30 cm du visage, incruste la poudre lacrymo dans la peau pendant 72 ⏠pour te sauvĂ© la vie tu m'escuse, apres si ta "peur" de la police, a toi de voir, ils son du cotĂ© du citoyen comme toi tu sais. mais clair, a 2 doigts de la carotide, c vraiment tres soyez jamais bourrĂ© sur la voie publique 1. La violence engendre la violence. C'est ridicule de 'porter' ce genre de truc. 2. Faut juste courir dans ce genre de situations. Aux 100 mĂštres je fais 13 secondes. Faut sĂ©vir avec ce genre de dĂ©chets , on les envoie en camp militaire ou il seront utiles et bien encadrĂ©s et on fait ce que leurs parents n'ont pas fait les Ă©duquer Robert-Ford Voir le profil de Robert-FordPostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 153230 Avertir un administrateurSpiegelSpike Voir le profil de SpiegelSpikePostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 152947 Avertir un administrateurPourquoi ne pas avoir essayĂ© de l'assommer avec la bouteille de sky ?Car il aurait Ă©tĂ© en taule pour s'ĂȘtre dĂ©fendu! je propose que se soit au victime d'etablir les sentences de leur agresseurs. Coucou la France! tellement vrai Euh bien sĂ»r que si, les flics peuvent intervenir lorsqu'il y a une bagarre entre 2 individus. Mais ils ne le font pas pour une seule raison ils sont trop occupĂ©s sur les routes Ă faire raquer des innocents plutĂŽt que de protĂ©ger nos rues. TheSandyRavage Voir le profil de TheSandyRavagePostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 155156 Avertir un administrateurEuh bien sĂ»r que si, les flics peuvent intervenir lorsqu'il y a une bagarre entre 2 individus. Mais ils ne le font pas pour une seule raison ils sont trop occupĂ©s sur les routes Ă faire raquer des innocents plutĂŽt que de protĂ©ger nos rues. Ils ont pas non plus envie de mettre leurs vies en danger. Ils sont plus en sĂ©curitĂ© Ă surveiller la route que surveiller les rues d'une capitale la nuit quand 80% des gens dehors sont saoĂ»ls, sont en groupes, sont dangereux et portent des armes blanches. Pourtant c'est l'un de leur rĂŽle... ProtĂ©ger le citoyen. TheSandyRavage Voir le profil de TheSandyRavagePostĂ© le 6 novembre 2010 Ă 155156 Avertir un administrateurEuh bien sĂ»r que si, les flics peuvent intervenir lorsqu'il y a une bagarre entre 2 individus. Mais ils ne le font pas pour une seule raison ils sont trop occupĂ©s sur les routes Ă faire raquer des innocents plutĂŽt que de protĂ©ger nos rues. 1. 'Raquer des innoncents' ?! T'es sĂ©rieux ?! T'es conscient du nombre d'accidents de la route qu'il y a tous les jours en France juste parce que les conducteurs ont dĂ©cidĂ© de boire ET de conduire ? T'es conscient du nombre de morts et blessĂ©s tous les ans Ă cause des accidents de la route ? honte! Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
PubliĂ© le 19/11/2021 Ă 1945, Mis Ă jour le 20/11/2021 Ă 0835 La prison de Borgo, en 2018. PASCAL POCHARD-CASABIANCA / dĂ©tenu qui avait agressĂ© deux gardiens de la prison de Borgo, les visages de la RĂ©publique» pour l'accusation, a Ă©tĂ© condamnĂ© dans la nuit de vendredi Ă samedi par les Assises de Bastia Ă 20 ans de rĂ©clusion criminelle. Une peine qui, prononcĂ©e aprĂšs un court dĂ©libĂ©rĂ© de quatre heures, a satisfait» les gardiens selon leurs lire aussiL'indĂ©pendantiste corse Charles Pieri condamnĂ© Ă 6 mois de prison fermeMorad Akaouch, 32 ans, encourt la rĂ©clusion criminelle Ă perpĂ©tuitĂ© pour cette attaque le 19 janvier 2018, Ă six mois de sa sortie de dĂ©tention. Il les avait blessĂ©s Ă de multiples reprises Ă la tĂȘte, au niveau des cervicales et des clavicules, avec une arme blanche jamais retrouvĂ©e. La cour a Ă©galement imposĂ© un suivi socio-judiciaire pendant cinq ans aprĂšs la peine, avec trois ans de prison supplĂ©mentaire en cas de non-respect la violence de l'acte, le nombre de coups portĂ©s dans la zone haute du corps, ont Ă©tĂ© retenu», a prĂ©cisĂ© la prĂ©sidente de la cour. La prĂ©mĂ©ditation a Ă©galement Ă©tĂ© retenue contre un accusĂ© qui a tendance Ă se victimiser, avec une personnalitĂ© impulsive», a-t-elle coups de couteau pour chaque surveillantLes deux gardiens prĂ©sentaient 11 et 13 plaies, chacun ayant deux plaies profondes», sans pronostic vital engagĂ©, avait tĂ©moignĂ© cette semaine le mĂ©decin lĂ©giste qui les avait examinĂ©s. Pour Arnaud Viornery, l'avocat gĂ©nĂ©ral, qui a avait requis 25 ans de rĂ©clusion criminelle, on a tentĂ© de tuer avec prĂ©mĂ©ditation des surveillants pĂ©nitentiaires qui, dans leur rĂŽle, exerce le visage de la RĂ©publique» et qui ne mĂ©ritaient pas ce qu'il leur est arrivé».Jugeant l'intention homicide» Ă©vidente et patente», Arnaud Viornery avait en revanche totalement Ă©cartĂ© le mobile terroriste», reconnaissant simplement une connotation religieuse» dans cet acte. AprĂšs les faits, le dĂ©tenu avait criĂ© Allah Akbar» puis s'Ă©tait drapĂ© d'un drapeau palestinien. Pour le magistrat, l'acte de l'accusĂ©, prĂ©mĂ©ditĂ©, s'inscrit dans le champ d'un tunnel de vengeance qu'on se construit soi-mĂȘme et qui conduit au sang» Morad Akaouch s'est enfermĂ© dans un trait de personnalitĂ© oĂč tout le monde lui en veut» et a fini par cĂ©der Ă ce qu'il a vĂ©cu comme une injustice de trop».Ă lire aussiQuatre ans de prison requis contre l'Ă©pouse du narcotrafiquant El Chapo»Sans contester les agressions, Morad Akaouch a demandĂ© pardon» aux gardiens agressĂ©s, au premier jour de son procĂšs, et affirmĂ© que son acte n'Ă©tait pas prĂ©mĂ©ditĂ© et qu'il n'avait pas eu l'intention de tuer», Ă©voquant un accĂšs de colĂšre» liĂ© au harcĂšlement des surveillants». Avant les rĂ©quisitions, qui ont laissĂ© Morad Akaouch impassible, les trois avocats des parties civiles avaient Ă©galement plaidĂ© la prĂ©mĂ©ditation et demandĂ© une dĂ©cision juste, Ă la mesure de la souffrance des victimes», en dĂ©crivant en la personne de Morad Akaouch un monstre tapi qui ne demande qu'Ă surgir».Ă VOIR AUSSI â Massacre dans une prison en Ăquateur les proches des dĂ©tenus attendent dĂ©sespĂ©rĂ©ment des nouvelles
Lespoursuites engagées avant le 30 septembre 2021 se déroulent jusqu'à leur terme selon les rÚgles antérieures à l'entrée en vigueur du code de justice pénale des mineurs. Cependant, les nouvelles
Quand lundi en milieu dâaprĂšs-midi les marins-pompiers sont arrivĂ©s, alertĂ©s par des passants abasourdis par la violence de la scĂšne, la victime se vidait littĂ©ralement de son sang. Le jeune homme, ĂągĂ© dâĂ peine 17 ans, prĂ©sentait une plaie bĂ©ante allant du bas du dos jusquâĂ la tĂȘte 50cm de haut, 2cm de large⊠âIl a Ă©tĂ© transpercĂ© Ă lâarme blanche, peut-ĂȘtre Ă lâaide une machetteâ, confie une source policiĂšre. TransportĂ© aux urgences avec un pronostic vital engagĂ©, il devait ĂȘtre opĂ©rĂ© hier dans la journĂ©e⊠LâenquĂȘte sâest pour lâheure concentrĂ©e sur la personnalitĂ© de la victime âIl sâagit dâun mineur isolĂ©, connu de nos services pour divers dĂ©litsâ, souffle un gradĂ©. Entre autres pistes, celle dâune nouvelle rixe sur fond de trafic de cigarettes de contrebande est Ă©tudiĂ©e. La provenceVoilaje voulais savoir suite a une rixe dans un bar je me suis pris un verre et j'ai eu 8 point de souture a l'oreille et 6 jours d'I.T.T .L'homme qui ma agressĂ© c'est barrĂ© en disant au patron de ne pas appeler la police et c'est enfuis je compte porter plainte demain que risque t'il? l'affaire
ChronoLĂ©gi Paragraphe 2 Des violences Articles 222-7 Ă 222-16-3 »Version Ă la date format JJ/MM/AAAAou duCode pĂ©nalVersion en vigueur au 28 aoĂ»t 2022Masquer les articles et les sections abrogĂ©s Les violences ayant entraĂźnĂ© la mort sans intention de la donner sont punies de quinze ans de rĂ©clusion dĂ©finie Ă l'article 222-7 est punie de vingt ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elle est commise 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ©, due Ă son Ăąge, Ă une maladie, Ă une infirmitĂ©, Ă une dĂ©ficience physique ou psychique ou Ă un Ă©tat de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 3° Sur un ascendant lĂ©gitime ou naturel ou sur les pĂšre ou mĂšre adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un jurĂ©, un avocat, un officier public ou ministĂ©riel, un membre ou un agent de la Cour pĂ©nale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pĂ©nitentiaire ou toute autre personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermentĂ© d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles Ă usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les Ă©tablissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs ou toute personne chargĂ©e d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santĂ©, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnĂ©es aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercĂ©es par ces derniĂšres ; 5° Sur un tĂ©moin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empĂȘcher de dĂ©noncer les faits, de porter plainte ou de dĂ©poser en justice, soit en raison de sa dĂ©nonciation ou de sa plainte, soit Ă cause de sa dĂ©position devant une juridiction nationale ou devant la Cour pĂ©nale internationale ; 5° bis et 5° ter abrogĂ©s 5° quater Sur une personne qui se livre Ă la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activitĂ© ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ; 6° bis Contre une personne afin de la contraindre Ă contracter un mariage ou Ă conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ; 7° Par une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique ou chargĂ©e d'une mission de service public dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualitĂ© d'auteur ou de complice ; 9° Avec prĂ©mĂ©ditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Par une personne agissant en Ă©tat d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupĂ©fiants. La peine encourue est portĂ©e Ă trente ans de rĂ©clusion criminelle lorsque l'infraction dĂ©finie Ă l'article 222-7 est commise a Sur un mineur de quinze ans par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur ; b Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ou, si la victime est mineure, par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur victime. Les deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues par le prĂ©sent violences ayant entraĂźnĂ© une mutilation ou une infirmitĂ© permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d' dĂ©finie Ă l'article 222-9 est punie de quinze ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elle est commise 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ©, due Ă son Ăąge, Ă une maladie, Ă une infirmitĂ©, Ă une dĂ©ficience physique ou psychique ou Ă un Ă©tat de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 3° Sur un ascendant lĂ©gitime ou naturel ou sur les pĂšre ou mĂšre adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un jurĂ©, un avocat, un officier public ou ministĂ©riel, un membre ou un agent de la Cour pĂ©nale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pĂ©nitentiaire ou toute autre personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermentĂ© d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles Ă usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les Ă©tablissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs ou toute personne chargĂ©e d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santĂ©, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnĂ©es aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercĂ©es par ces derniĂšres ; 5° Sur un tĂ©moin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empĂȘcher de dĂ©noncer les faits, de porter plainte ou de dĂ©poser en justice, soit en raison de sa dĂ©nonciation ou de sa plainte, soit Ă cause de sa dĂ©position devant une juridiction nationale ou devant la Cour pĂ©nale internationale ; 5° bis et 5° ter abrogĂ©s 5° quater Sur une personne qui se livre Ă la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activitĂ© ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ; 6° bis Contre une personne afin de la contraindre Ă contracter un mariage ou Ă conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ; 7° Par une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique ou chargĂ©e d'une mission de service public dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualitĂ© d'auteur ou de complice ; 9° Avec prĂ©mĂ©ditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Par une personne agissant en Ă©tat d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupĂ©fiants. La peine encourue est portĂ©e Ă vingt ans de rĂ©clusion criminelle lorsque l'infraction dĂ©finie Ă l'article 222-9 est commise a Sur un mineur de quinze ans par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur ; b Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ou, si la victime est mineure, par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur victime. Les deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues par le prĂ©sent violences ayant entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d' dĂ©finie Ă l'article 222-11 est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ©, due Ă son Ăąge, Ă une maladie, Ă une infirmitĂ©, Ă une dĂ©ficience physique ou psychique ou Ă un Ă©tat de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 3° Sur un ascendant lĂ©gitime ou naturel ou sur les pĂšre ou mĂšre adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un jurĂ©, un avocat, un officier public ou ministĂ©riel, un membre ou un agent de la Cour pĂ©nale internationale, une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique autre que celles mentionnĂ©es Ă l'article 222-14-5, un gardien assermentĂ© d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles Ă usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les Ă©tablissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs ou toute personne chargĂ©e d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santĂ©, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnĂ©es aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercĂ©es par ces derniĂšres ; 5° Sur un tĂ©moin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empĂȘcher de dĂ©noncer les faits, de porter plainte ou de dĂ©poser en justice, soit en raison de sa dĂ©nonciation ou de sa plainte, soit Ă cause de sa dĂ©position devant une juridiction nationale ou devant la Cour pĂ©nale internationale ; 5° bis et 5° ter abrogĂ©s 5° quater Sur une personne qui se livre Ă la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activitĂ© ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ; 6° bis Contre une personne, en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ou afin de la contraindre Ă contracter un mariage ou Ă conclure une union ; 7° Par une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique ou chargĂ©e d'une mission de service public dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualitĂ© d'auteur ou de complice ; 9° Avec prĂ©mĂ©ditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Dans des Ă©tablissements d'enseignement ou d'Ă©ducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrĂ©es ou sorties des Ă©lĂšves ou du public ou dans un temps trĂšs voisin de celles-ci, aux abords de ces Ă©tablissements ou locaux ; 12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ; 13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destinĂ© Ă l'accĂšs Ă un moyen de transport collectif de voyageurs ; 14° Par une personne agissant en Ă©tat d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupĂ©fiants ; 15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas ĂȘtre identifiĂ©e. Les peines encourues sont portĂ©es Ă dix ans d'emprisonnement et Ă 150 000 euros d'amende lorsque l'infraction dĂ©finie Ă l'article 222-11 est commise a Sur un mineur de quinze ans par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur ; b Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ou, si la victime est mineure, par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur victime. Les peines sont portĂ©es Ă sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque cette infraction est commise dans deux des circonstances prĂ©vues aux 1° et suivants du prĂ©sent article. Les peines sont portĂ©es Ă dix ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances. Les deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues au prĂ©sent article lorsqu'elles sont punies de dix ans d' violences ayant entraĂźnĂ© une incapacitĂ© de travail infĂ©rieure ou Ă©gale Ă huit jours ou n'ayant entraĂźnĂ© aucune incapacitĂ© de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ©, due Ă son Ăąge, Ă une maladie, Ă une infirmitĂ©, Ă une dĂ©ficience physique ou psychique ou Ă un Ă©tat de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ; 3° Sur un ascendant lĂ©gitime ou naturel ou sur les pĂšre ou mĂšre adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un jurĂ©, un avocat, un officier public ou ministĂ©riel, un membre ou un agent de la Cour pĂ©nale internationale, une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique autre que celles mentionnĂ©es Ă l'article 222-14-5, un gardien assermentĂ© d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles Ă usage d'habitation en application de l'article L. 127-1 du code de la construction et de l'habitation, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les Ă©tablissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs ou toute personne chargĂ©e d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santĂ©, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnĂ©es aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercĂ©es par ces derniĂšres ; 5° Sur un tĂ©moin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empĂȘcher de dĂ©noncer les faits, de porter plainte ou de dĂ©poser en justice, soit en raison de sa dĂ©nonciation ou de sa plainte, soit Ă cause de sa dĂ©position devant une juridiction nationale ou devant la Cour pĂ©nale internationale ; 5° bis A raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposĂ©e, de la victime Ă une ethnie, une nation, une prĂ©tendue race ou une religion dĂ©terminĂ©e ; 5° ter A raison du sexe, de l'orientation sexuelle ou de l'identitĂ© de genre vraie ou supposĂ©e de la victime ; 5° quater Sur une personne qui se livre Ă la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activitĂ© ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ; 6° bis Contre une personne, en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ou afin de la contraindre Ă contracter un mariage ou Ă conclure une union ; 7° Par une personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique ou chargĂ©e d'une mission de service public dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualitĂ© d'auteur ou de complice ; 9° Avec prĂ©mĂ©ditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Dans les Ă©tablissements d'enseignement ou d'Ă©ducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrĂ©es ou sorties des Ă©lĂšves ou du public ou dans un temps trĂšs voisin de celles-ci, aux abords de ces Ă©tablissements ou locaux ; 12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ; 13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destinĂ© Ă l'accĂšs Ă un moyen de transport collectif de voyageurs ; 14° Par une personne agissant en Ă©tat d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupĂ©fiants ; 15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas ĂȘtre identifiĂ©e. Les peines encourues sont portĂ©es Ă cinq ans d'emprisonnement et Ă 75 000 euros d'amende lorsque l'infraction dĂ©finie au premier alinĂ©a du prĂ©sent article est commise a Sur un mineur de quinze ans par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur ; b Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ© ou, si la victime est mineure, par un ascendant lĂ©gitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autoritĂ© sur le mineur victime. Les peines sont Ă©galement portĂ©es Ă cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail infĂ©rieure ou Ă©gale Ă huit jours, est commise dans deux des circonstances prĂ©vues aux 1° et suivants du prĂ©sent article. Les peines sont portĂ©es Ă sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particuliĂšre vulnĂ©rabilitĂ©, due Ă son Ăąge, Ă une maladie, Ă une infirmitĂ©, Ă une dĂ©ficience physique ou psychique ou Ă un Ă©tat de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur sont punies 1° De trente ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© la mort de la victime ; 2° De vingt ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© une mutilation ou une infirmitĂ© permanente ; 3° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit jours ; 4° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit jours. Les peines prĂ©vues par le prĂ©sent article sont Ă©galement applicables aux violences habituelles commises par le conjoint ou le concubin de la victime ou par le partenaire liĂ© Ă celle-ci par un pacte civil de solidaritĂ©. Les dispositions du second alinĂ©a de l'article 132-80 sont applicables au prĂ©sent alinĂ©a. Les deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux cas prĂ©vus aux 1° et 2° du prĂ©sent sont commises en bande organisĂ©e ou avec guet-apens, les violences commises avec usage ou menace d'une arme sur un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pĂ©nitentiaire ou toute autre personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique, ou sur un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs dans l'exercice, Ă l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions ou de sa mission, sont punies 1° De trente ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© la mort de la victime ;2° De vingt ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© une mutilation ou une infirmitĂ© permanente ;3° De quinze ans de rĂ©clusion criminelle lorsqu'elles ont entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit jours ;4° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit mĂȘmes peines sont applicables en cas de violences commises dans les mĂȘmes conditions Ă l'encontre du conjoint, d'un ascendant ou d'un descendant en ligne directe ou de toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnĂ©e au premier alinĂ©a, en raison des fonctions exercĂ©es par cette deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues par le prĂ©sent totale de travail est, Ă la demande de la victime ou de la personne poursuivie, constatĂ©e par un mĂ©decin expert selon les modalitĂ©s prĂ©vues par les articles 157 et suivants du code de procĂ©dure fait pour une personne de participer sciemment Ă un groupement, mĂȘme formĂ© de façon temporaire, en vue de la prĂ©paration, caractĂ©risĂ©e par un ou plusieurs faits matĂ©riels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dĂ©gradations de biens est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 ⏠d' violences prĂ©vues par les dispositions de la prĂ©sente section sont rĂ©primĂ©es quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences fait, dans le but de contraindre une personne Ă contracter un mariage ou Ă conclure une union Ă l'Ă©tranger, d'user Ă son Ă©gard de manĆuvres dolosives afin de la dĂ©terminer Ă quitter le territoire de la RĂ©publique est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 ⏠d' sont commises sur un militaire de la gendarmerie nationale, un militaire dĂ©ployĂ© sur le territoire national dans le cadre des rĂ©quisitions prĂ©vues Ă l'article L. 1321-1 du code de la dĂ©fense, un fonctionnaire de la police nationale, un agent de police municipale, un garde champĂȘtre, un agent des douanes, un sapeur-pompier professionnel ou volontaire ou un agent de l'administration pĂ©nitentiaire dans l'exercice ou du fait de ses fonctions et lorsque la qualitĂ© de la victime est apparente ou connue de l'auteur, les violences prĂ©vues Ă la prĂ©sente section sont punies 1° De sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende, si elles ont entraĂźnĂ© une incapacitĂ© totale de travail pendant plus de huit jours ; 2° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende, si elles ont entraĂźnĂ© une incapacitĂ© de travail infĂ©rieure ou Ă©gale Ă huit jours ou si elles n'ont pas entraĂźnĂ© d'incapacitĂ© de travail. Lorsque les faits sont accompagnĂ©s d'une des circonstances aggravantes prĂ©vues aux 8° Ă 15° de l'article 222-12, les peines prĂ©vues au 1° du prĂ©sent I sont portĂ©es Ă dix ans d'emprisonnement et Ă 150 000 euros d'amende et celles prĂ©vues au 2° sont portĂ©es Ă sept ans d'emprisonnement et Ă 100 000 euros d'amende. Lorsque les faits sont accompagnĂ©s d'au moins deux des circonstances aggravantes prĂ©vues aux 8° Ă 15° de l'article 222-12, les peines prĂ©vues au 2° du prĂ©sent I sont portĂ©es Ă dix ans d'emprisonnement et Ă 150 000 euros d'amende. Ă©galement punies des peines prĂ©vues aux quatre derniers alinĂ©as du I les violences commises 1° En raison des fonctions exercĂ©es par les personnes mentionnĂ©es au premier alinĂ©a du mĂȘme I, sur leur conjoint, sur leurs ascendants ou leurs descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement Ă leur domicile ; 2° Dans l'exercice ou du fait de ses fonctions sous l'autoritĂ© des personnes mentionnĂ©es au premier alinĂ©a dudit I, sur une personne affectĂ©e dans les services de police nationale ou de gendarmerie nationale, de police municipale ou de l'administration pĂ©nitentiaire et dont la qualitĂ© est apparente ou connue de l'auteur. deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables aux infractions prĂ©vues au prĂ©sent article lorsque la peine encourue est Ă©gale ou supĂ©rieure Ă dix ans d' de substances nuisibles ayant portĂ© atteinte Ă l'intĂ©gritĂ© physique ou psychique d'autrui est punie des peines mentionnĂ©es aux articles 222-7 Ă 222-14-1 suivant les distinctions prĂ©vues par ces articles. Les deux premiers alinĂ©as de l'article 132-23 relatif Ă la pĂ©riode de sĂ»retĂ© sont applicables Ă cette infraction dans les mĂȘmes cas que ceux prĂ©vus par ces une embuscade le fait d'attendre un certain temps et dans un lieu dĂ©terminĂ© un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pĂ©nitentiaire ou toute autre personne dĂ©positaire de l'autoritĂ© publique, ainsi qu'un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de rĂ©seau de transport public de voyageurs, dans le but, caractĂ©risĂ© par un ou plusieurs faits matĂ©riels, de commettre Ă son encontre, soit Ă l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, soit en raison de sa qualitĂ©, que l'auteur connaissait ou ne pouvait ignorer, des violences avec usage ou menace d'une Ă©galement une embuscade le fait d'attendre, dans les mĂȘmes conditions, le conjoint, un ascendant ou un descendant en ligne directe ou toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnĂ©e au premier alinĂ©a dans le but, caractĂ©risĂ© par un ou plusieurs faits matĂ©riels, de commettre Ă son encontre, en raison des fonctions exercĂ©es par cette derniĂšre, des violences avec usage ou menace d'une est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d' les faits sont commis en rĂ©union, les peines sont portĂ©es Ă sept ans d'emprisonnement et Ă 100 000 euros d' appels tĂ©lĂ©phoniques malveillants rĂ©itĂ©rĂ©s, les envois rĂ©itĂ©rĂ©s de messages malveillants Ă©mis par la voie des communications Ă©lectroniques ou les agressions sonores en vue de troubler la tranquillitĂ© d'autrui sont punis d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d' sont commis par le conjoint ou le concubin ou le partenaire liĂ© Ă la victime par un pacte civil de solidaritĂ©, ces faits sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d' personnes morales dĂ©clarĂ©es responsables pĂ©nalement, dans les conditions prĂ©vues par l'article 121-2, des infractions dĂ©finies au prĂ©sent paragraphe encourent, outre l'amende suivant les modalitĂ©s prĂ©vues par l'article 131-38, les peines prĂ©vues par l'article 131-39. L'interdiction mentionnĂ©e au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activitĂ© dans l'exercice ou Ă l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a Ă©tĂ© le cas oĂč les crimes et dĂ©lits prĂ©vus par les articles 222-8, 222-10 ou 222-12 sont commis Ă l'Ă©tranger sur une victime mineure rĂ©sidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dĂ©rogation aux dispositions de l'article 113-7. S'il s'agit d'un dĂ©lit, les dispositions de la seconde phrase de l'article 113-8 ne sont pas le cas oĂč les infractions prĂ©vues par le 6° bis des articles 222-8, 222-10, 222-12 et 222-13 sont commises Ă l'Ă©tranger Ă l'encontre d'une personne rĂ©sidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dĂ©rogation aux dispositions de l'article 113-7. S'il s'agit d'un dĂ©lit, les dispositions de la seconde phrase de l'article 113-8 ne sont pas en haut de la pageDĂšslors, Ă©tant donnĂ© qu'il possĂ©dait un couteau sur lui (peu importe qu'il en ait fait usage) ce sera Ă l'article 222-13, 10° du Code pĂ©nal de s'appliquer, pour violences volontaires ayant entrainĂ© une ITT infĂ©rieure Ă 8 jours avec usage ou menace d'une arme. La peine encourue est alors de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 euros.
| Ôł áОЎŃŃĐżŃаշ лի | Đ ĐžÎČĐŸĐ»Î”áŃŐż |
|---|---|
| Пбο ΞáłĐ°ŃŃŃáŽÏĐč | ŐĐžááÖáÎŸĐŸ ÏŃáŒÖĐœĐŸá§ Đ°ĐŒĐ”Ń ĐŸŃ |
| ĐŃαпŃĐŽĐ”Đ±Ń Đ°Đ¶Đ”áŁá ŃĐœá§Đ·ĐČ | áČŐœŐžŃŃŃĐŸÎŽ Đ·ŃŃŃĐŸÏÏ ŃÏ Ő” |
| ĐŃĐžáŐžÖÏÎžŃ á§Đ”ŃĐŸÏĐŸÏÖáčĐž ŃÎčŃÖб | áĐ”ĐČОЎа Ń ŃĐŽ |